Actualités de Niouzenet
6. Vienne Informatique accentue la dérive
     Juillet à septembre 1998
  1. 25 juillet - 5 août, interdiction de critique sur Vienne Informatique
    1. Le 25 juillet, avant que Christian Bardet n'emploie la censure, il y avait eu un échange de messages assez longs entre moi et deux membres du Comité, Alf le Kroko et Tchantchès. Il en était ressorti peu de choses. A Alf le Kroko qui me demande de fermer mon site, j'avais répondu : « C'est une pratique systématique sur Usenet : tous les articles sont archivés sur http://wwwdejanews.com Plus généralement, c'est une pratique employée pour tous les propos publics : il n'y a qu'à lire la presse et la littérature. Dans la vie "normale", ceux qui ont des responsabilités doivent assumer leurs propos publics. Il en est de même dans la vie "virtuelle". Certains l'ont oublié et ce sont cru tout permis. Et ils voudraient que ça ne sachent pas et garder l'impunité... », et aussi : « Je rappelle que j'ai pris la précaution de ne mettre que des messages entiers, et que je laisse un droit de réponse à ceux qui le demandent (ce qui n'est pas le cas sur DejaNews). Je suis même susceptible d'enlever certains passages, voire certains messages, ou d'en rajouter, pour ceux qui me le demanderont avec quelques arguments. Je peux aussi ôter certains noms de famille. J'ai d'ailleurs enlevé celui d'Alf. ».
    2. Pour la première fois, un membre du Comité, Tchantchès, a répondu, un peu, à une de mes questions plusieurs fois répétées : « Il n'y a rien a prouvé a ce sujet les nom de domaine sont déposé et appartienne à niouzenet point finale. Maintenant on peux toujours s'amuser a chercher la petite bête et dire ... "mémémémémé ... c'est déposé au nom de qui" ... normal NiouZeNet n'as aucun status juridique pour le moment ... (...) Oui Edouard Bernard a déposé le nom de domaine mais il faut bien un nom une référence juridique pour le faire, t'aurais gueulé autant si ca avait été au nom de Thierry, panthère noire ou le mien ... »
    3. Toujours le 25 juillet, je réponds : « Maintenant il reste à Tchantchès à prouver ce qu'il vient de dire : qu'il montre une déclaration signée d'Edouard Bernard disant que les domaines niouzenet.org et niouze.net sont entièrement la propriété de la Coordination de Niouzenet. (pas du Comité : de la Coordination de Niouzenet, c'est aux Niouzmestres de décider ce qu'il en sera). » Rien ne sera fait en ce sens.
    4. Le 27 juillet, étant censuré sur Stingray, je m'adresse alors sur nzn.fr.niouzenet à Vienne Informatique, Claude Marti et Philippe Marasse, pour les remercier de ne pas avoir censuré un de mes messages, comme Thierry Martin le préconisait, et je souhaite qu'ils continuent en ce sens et se désolidarisent du Comité et de Stingray (où les messages m'attaquant sont maintenant sans réponse). Je rappelle aux Niouzemestres qu'ils doivent faire le point.
    5. Après leur avoir dit par courrier, je le répète, le 31 juillet, dans un autre message que je poste sur quelques autres forums de Niouzenet, en faisant le point de la situation.
    6. Pendant ce temps, le Comité avance doucement dans la constitution de ses statuts. Le terme "Nétiquette" y fait son apparition
    7. Le 4 août, Philippe Marasse poste sur nzn.fr.niouzenet des règles d'utilisation des forums de Vienne Informatique disant notamment : « Seront transférées dans le groupe vi.abus, les enfilades (...) contenant des critiques mettant en cause directement ou indirectement des personnes physiques ou morales ».
    8. Je m'indigne de cette interdiction de critiques. Je suis alors censuré. Le 6 août, je prends à témoins les autres Niouzemestres de ce qui se passe et leur demande, une fois de plus, de s'exprimer. Je dis notamment : « Je n'aurais jamais imaginé qu'on puisse interdire la critique sur des forums de Niouzenet, et si je l'avais imaginé, j'aurais marqué dans la Charte que la liberté d'expression devait y être respectée (mais n'est-elle pas incluse dans la Nétiquette, qui prône le respect des autres ?). C'est un symbole précieux et je ne comprends pas que les Niouzemestres le bafouent en laissant s'instaurer une interdiction de mécontentement, de citation ou de de critique sans élever la voix et s'y opposer vigoureusement. »

  2. 6 - 8 août, questions à Vienne Informatique
    1. Le 7 août, Philippe Marasse répond enfin. Il dit notamment : « Commencer à dialoguer... on avait déjà essayé mais visiblement, si on n'est pas du même avis qu'Alain, c'est soit on se convertit à ses idées, soit on s'en va... » (je retrouve là les ragots colportés par Thierry Martin), puis « Tu n'as pas reçu assez d'injures/calomnies/diffamations ? tu n'as pas été assez censuré ? Pour ma part, ça ferait un moment que je me serais barré en les traitant de tous les noms d'oiseaux qui existent... quitte à essayer de faire mieux ailleurs... »
    2. Il dit aussi : « Nous respectons les autres à la hauteur où ils nous respectent... ». Ce à quoi je réponds : « A hauteur du respect que Philippe Marasse croit que les autres ont de lui... Désolé, mais j'avais du respect pour lui. Il suffit de comparer ce que j'ai dit à son propos et ce que j'ai dit sur quelques autres... J'espérais même - pauvre niais que je suis - qu'il serait l'un des premiers à s'opposer au Comité... Mais en lisant ce qu'il écrit là, même s'il y avait pas mal de signes avant-coureurs, je change radicalement d'opinion... Pas sur Vienne Informatique, mais sur Philippe Marasse... Le 1er mars quand je lui ai écrit, je le connaissais peu, j'étais même resté sur une fort bonne impression que m'avait laissée une correspondance avec lui, en début octobre. Je ne pouvais donc pas avoir d'irrespect pour lui. Mais lui ne m'a pas du tout respecté en ne me répondant pas et en laissant les insultes continuer. Et dire que même après cela je le respectais encore... »
    3. Il dit aussi « Les NZM avaient promis de faire le point, pas seulement nous. Mais avec cette période de vacances, il y a un peu de relâchement, il faut bien le reconnaître... ». Je réponds : « C'est extrêmenent léger comme excuse, quand on sait qu'ils devaient se prononcer avant le 5 juillet, et que j'ai eu l'ocasion de leur rappeler plusieurs fois, avant et après, et qu'ils savaient que c'était important pour Niouzenet. De plus, à défaut de se prononcer collectivement, ils pouvaient le faire individuellement. Et ils pouvaient - pour le moins - donner un mot d'excuse pour expliquer leur retard. Je l'ai déjà dit, ce retard contribue au pourrissement de la situation. ».
    4. Philippe Marasse refuse aussi que Niouzenet soit une démocratie. Il dit aussi que les règles d'utilisation dataient du 15 juin (date où le mécontentement était interdit). Elles n'avaient jamais été postées sur nzn.fr.niouzenet. Il termine en disant : « Ce message, ainsi que toute cette enfilade s'auto détruira dans les 5 heures à venir... ».
    5. Le 8 août, je réponds dans un message intitulé : "Qu'en dit Vienne Informatique ?", où je pose des questions à l'association, lui demandant de se démarquer de son Niouzemestre. Je dis aussi : « J'envoie aussi une copie de ce message aux Niouzemestres de Change-Espace, Sasi, Guetali et Wallonie pour leur demander une nouvelle fois de désavouer le Comité et ses méthodes, de rétablir la Charte de Niouzenet et donc la Nétiquette, de refuser qu'un de ses forums soit exempt de tout contrôle. J'attends toujours qu'ils respectent leur promesse de "faire le point". Dois-je ajouter que je ne le demande pas avec irrespect ? ».

  3. 9 - 20 août, la dictature du Comité
    1. Le lendemain 9 août, Alf le Kroko poste sur nzn.fr.niouzenet un message commençant par : « Bonjour Mr Beyrand, je vous informe que Mr Philippe Marrasse niouzemestre de vienneinfo est en congés jusque fin Août. Le niouzemestre de leibowitz a toute latitude pour intervenir dans la gestion courante des groupes niouzenet hébergés chez vienneinfo à la demande express de Philippe Marrasse. »
    2. Je réponds en disant notamment : « Sur Niouzenet on est maintenant clairement en dictature, Philippe Marasse le "responsable" de ce serveur vient de s'en réclamer en déniant que la démocratie puisse y vivre. Il conforte dans leur prise de pouvoir ceux qu'il avait laissé insulter et calomnier . Pire, celui qui a posté le message le plus immonde qui soit, celui là (Alf le Kroko, de Leibowitz) a remplacé depuis ce matin Philippe Marasse pendant ses congés d'août. »
    3. Ce message, comme les suivants sera censuré. Indigné par ce qui se passe, j'envoie un courrier à M. René Monory, président du Conseil Général de la Vienne, qui cogère l'association Vienne Informatique.
    4. Durant le même temps, des messages polluants (hors sujet du forum, avec des rires gras), de Peter Mouse et Thierry Martin, sont postés sans le moindre reproche...
    5. Le 13 août, j'écris aussi : « je précise que je prends parfois le dictionnaire pour vérifier la justesse de mes mots. Par exemple pour bien vérifier qu'Alf le Kroko est le "dictateur" de ce forum : celui, qui après s'être emparé du pouvoir, l'exerce sans contrôle (Petit Robert). Il s'est effectivement "emparé" du pouvoir, avec la complicité de Philippe Marasse, mais sans l'assentiment de Vienne Informatique qui ignorait ce qu'il avait commis auparavant. Et il l'exerce sans contrôle, seulement avec l'approbation de ses copains du Comité (et des autres copains tel Peter Mouse). A un autre niveau, et dans une moindre mesure, tout de même, on peut aussi parler de "dictature du Comité" sur Niouzenet : ils se sont effectivement "emparé" du pouvoir, comme je l'ai dit avant, mais ils ne peuvent pas l'exercer partout, ce qui permet tout de même de résister sur les serveurs qui restent fidèles à la Charte. »
    6. Sur nzn.fr.comite, Georges Schepers, un contributeur qui, à son arrivée, avait eu du mal à comprendre mon action, dit, le 15 août, à mon propos : « Vous êtes les premiers responsables du problème en vous lançant et en entretenant la polémique par vos réponses (les culs de Mouse n'ont même pas appelé une sanction) qui restent du niveau delirium . Comment Thierry peut-il faire revenir à l'objet du forum en incriminant A.Beyrand et en laissant faire n'importe quoi à la bande de delirium sans rappel à l'ordre : deux poids ,deux mesures et surtout n'allez pas croire je soutiens A.Beyrand alors qu'il reste correct dans ses propos alors qu'en ce qui concerne les autres ??? Commencez par balayer devant votre porte et disciplinez-vous si vous voulez être crédibles et assumer la responsabilité de niouzenet. »
    7. Puis il est plus dur, en voyant ce qu'est le forum nzn.fr.sciences qui vient d'être créé : « Delirium ne suffit plus il faut créer des succursales pour amuser les débiles. C'est ça Niouzenet .... Un ramassis d'adultes réduits à l'état d'infantilisme .... Bravo le Comité ». Il dit aussi : « Niouzenet = delirium quifquif bourricot... et alors tout le monde aura compris »
    8. Le 16 août, je commente ces propos sur nzn.fr.niouzenet. Je n'y suis pas censuré. Il y aura une autre grande censure le 19 août : elle marque le retour de Philippe Marasse (qui poste, peu après, un petit article d'information). Comme mon message suivant n'est pas supprimé, « j'en remercie l'association Vienne Informatique », et je poste à nouveau quelques uns de mes articles supprimés.

  4. 21 - 30 août, proposition de relance de Niouzenet
    1. Puis Thierry Martin m'ayant accusé d'être un pollueur et un saboteur, je montre un de ses articles polluant (hors sujet, tires gras), et je précise en 13 points en quoi il est un saboteur de Niouzenet, pour avoir démoli ses principes, en particulier le respect de la Charte et de la Nétiquette, le remplacement de la transparence démocratique par l'opacité du Comité, l'abandon du principe "Un forum, un serveur".
    2. Aucune réponse n'est apportée. Je dis alors : « Derrière les dérobades, derrière la censure, on ne trouve plus qu'un aveu silencieux. »
    3. Le 24 août, je m'adresse à nouveau aux Niouzemestres, par un message intitulé "Après les aveux du Comité, reconstruisons Niouzenet". Je leur rappelle ce qui s'est passé et leur propose de soutenir une solution reposant sur : « un renouvellement de leur soutien à la Charte de Niouzenet , un rejet du Comité,, une mission d'un mois maximum donnée à NiouzeCoord provisoire, donc moi-même, pour :
      1. supprimer de Niouzenet les serveurs Leibowitz.org, Newz.net et Stingray.ch, et répartir leurs forums nzn sur les autres serveurs.
      2. supprimer les forum nzn.fr.comite et nzn.fr.delirium (la future Coordination pouvant relancer ce dernier, dans le respect de la Charte).
      3. remettre à jour les sites de Niouzenet (...)
      4. proposer et mettre en place des modifications de la Charte
      5. mettre en place une nouvelle Coordination NiouzeCoord, autour d'Yves Petitdent
    4. En six sous-messages, je présente mes propositions de renforcement de la Charte (certaine provenant de mon messages à Pee-Wee du 6 avril), ainsi que des messages postés par Yves Petitdent, d'abord dans le forum privé de NiouzeCoordd, puis sur nzn.fr.niouzenet, le 22 mai, présentant une réorganisation des forums, autour des points forts de Niouzenet. C'est donc un véritable programme de relance de Niouzenet.
    5. Les Niouzemestres ne parlent toujours pas, quand un contributeur signale que les forums nzn de sasi ont disparu. je réponds : « Je suppose qu'Olivier Moreau a quitté Niouzenet parce qu'il ne croit plus à un rétablissement de la situation. Il avait été le seul Niouzemestre à comprendre que l'intervention d"Edouard Bernard était une manipulation du Comité et il l'avait clairement refusée. Je regrette ce départ. J'avais essayé de le convaincre de ne pas partir plus tôt, et il avait eu l'amabilité d'attendre quelques temps. Les derniers événements ont dû le décourager, il semble être parti discrètement, sans avertir quiconque. C'est dommage, surtout, qu'il avait une vision démocratique de Niouzenet, loin de l'opacité actuelle. Il comprenait que je veuille avertir tous les Niouzenautes de ce qui se passait. Il est sûr que ça renforce le Comité, comme le départ de bien d'autres auparavant... »

  5. 24 août - 1er septembre, mauvais dialogue et erreur
    1. Dans la semaine du 24 au 29 août, je suis en contact avec Claude Marti, président de Vienne Informatque. Au début, il semble vouloir comprendre ce qui se passe. Il parle de dialogue. Mais si je m'y prête, il a une attitude qui m'induit en erreur. Alors que Philippe Marasse agit d'une façon que je trouve déplaisante, j'envoie un courrier électronique à Claude Marti, en lui disant que je ne veux pas que Philippe Marasse le lise. Il lui montre, et c'est Philippe Marasse qui me répond, sans expliquer ce qu'il en est. Je m'en étonne et écris une autre lettre à Claude Marti et Philippe Marasse, en disant craindre que ce dernier ne la détourne. Claude Marti me répond sans évoquer ce dernier courrier et sans dire qu'il avait communiqué le précédent à Philippe Marasse.
    2. J'en déduis faussement que Philippe Marasse a intercepté ces courriers (en tant responsable du serveur). Le 29 août, je le dis publiquement, dans un message intitulé "Vienne Informatique ne veut pas réparer ce qui s'est passé", dans lequel je parle de l'échec du dialogue avec Vienne Informatique.
    3. Je dis notamment : « Ce que je sais maintenant de Vienne Informatique me permet de dire que Philippe Marasse y règne en maître du point de vue technique et que cela lui permet de faire croire ce qu'il veut. Il a même été jusqu'à intercepter un de mes courriers privés à Claude Marti, et je ne suis pas sûr qu'un autre soit arrivé à destination. Claude Marti m'a dit qu'il fallait attendre la réunion du conseil d'administration de Vienne Informatique pour qu'un choix soit fait entre l'une des deux options de la Coordination de Niouzenet ou alors l'abandon de Niouzenet. Ce refus d'agir rapidement cache mal le fait que le 5 juin Vienne Informatique avait décidé de soutenir le Comité durant un mois, sans que Claude Marti sache vraiment ce qu'il en était et sans qu'il sache qu'un point de la situation devait être fait un mois plus tard. »
    4. Philippe Marasse dit que je le diffame et Claude Marti intervient pour dire : « Je vous prends ce jour en flagrand délit d'affabulation. C'est moi et moi seul qui ai montré le courrier que vous m'aviez destiné car j'ai estimé qu'il devait en être ainsi. D'ores et déjà je propose au bureau de Vienne Informatique de dénoncer la charte. »
    5. Je me rends compte alors de mon erreur, et je dis publiquement, à plusieurs reprises que c'est une erreur malencontrueuse que je regrette. Je dis, en particulier, à Philippe Marasse : « Je ne veux pas te porter tort. J'ai mis des mois à te mettre en cause parce que je m'y refusais et parce que je te croyais plus inconscient que complice (ce qui n'est pas forcément mieux, d'ailleurs). Je m'y suis vu contraint par ton attitude révoltante qui cautionnait ceux qui ont insulté. Mon désir de justice et de réparation est plus fort que ma volonté de t'épargner. C'est vrai que tu ne m'as ni insulté ni calomnié, mais le laxisme et les dérobades sont presqu'autant redoutables, si ce n'est plus (mais indirectement...). »
    6. Dans le tumulte, je remarque ce que dit Philippe Ladame, à mon propos : « C'est bien dommage, car les sujets qu'il aborde (type de propagation des articles dans NiouZeNet, responsabilité des newsmasters, répartition des rôles dans un système coopératif ...) méritent mieux que son acharnement emphatique et que les remarques souvent ordurières de certains de ses contradicteurs qui semblent, dans une attitude d'un symétrisme frappant, vouloir refuser toute réflexion. ».
    7. Le 1er septembre, sous le titre "Oui, il ne faut pas oublier les idées...", je lui réponds : « Oui... Je n'en suis plus surpris de la part du Comité et de ses copains... Je le suis de la part des Niouzemestres de Change Espace, Guetali, Wallonie, Vienne Informatique... Eux devraient comprendre et permettre un retour à la normale... Pourquoi se taisent-il obstinément ?? Les propositions de relance d'Yves Petitdent sont pourtant plus motivantes que le manque d'idées du Comité... Et la Charte de Niouzenet, avec les modifications que je propose, offre un cadre bien plus sécurisant pour eux qui ont une responsabilité à assumer... »

  6. 31 août - 1er septembre, les Niouzemestres parlent... à moitié
    1. Le 31 août, profitant de mon erreur, Edouard Bernard, pour Newz, Alf le Kroko, pour Leibowitz, dénoncent la Charte de Niouzenet, ce qui, de leur part, n'est pas surprenant (surtout pour Newz qui n'y a jamais adhéré). Le 1er septembre, Christian Bardet, pour Stingray, en fait autant, ce qui n'est guère plus étonnant.
    2. Le 1er septembre, avec un message bizarrement daté de la veille au matin, Vienne Informatique poste un message du même type : « Afin de mettre un terme aux incertitudes et aux polémiques, le bureau de Vienne Informatique, représenté par M. Marti, responsable, et M. Marasse, niouzemestre, informe les contributeurs : - Qu'il dénonce la Charte actuelle de Niouzenet. - Qu'il appliquera les statuts rédigés par le comité et emettra des avis sur ces statuts, quand il le jugera utile. Il sera bien entendu accessible à toute requète émanant des contributeurs. »
    3. Je m'en indigne : « En soutenant le Comité, l'association Vienne Informatique soutient ceux qui ont insulté et calomnié en février-mars, elle accepte qu'on puisse poster sur un forum de Niouzenet les pires messages, sans contrôle, elle refuse un Niouzenet démocratique sans expliquer pourquoi. (...) J'espère que cette erreur, comme les précédentes, sera réparée rapidement. Si tel n'est pas le cas, je consulterai un avocat spécialisé en Internet pour voir comment la Justice Française peut agir. Et je n'exclus pas aussi une action contre ceux qui ont insulté et calomnié, ou l'ont cautionné. Je rappelle ce que j'ai écrit récemment : Si je vais dans une manifestation publique et que je me fais tabasser sous l'oeil du service d'ordre qui ne fait rien, même quand je l'appelle au secours, et qu'après je le vois soutenir les agresseurs, c'est contre le service d'ordre que je me retourne. S'il y a eu des agresseurs, c'est parce qu'ils savaient qu'il y avait une Coordination et un Niouzemestre qui laissaient tout faire. »
    4. Philippe Marasse répond : « Le bureau s'est prononcé pour la dénonciation de la Charte et l'application des statuts, il ne s'est nullement prononcé pour soutenir telle ou telle personne ou groupe de personnes. »
    5. Je réponds : « Il faudrait expliquer la différence, il faudrait dire ce qui est reproché à la Charte. Je ne vois pas l'ombre d'une explication, je ne vois qu'une décision arbitraire. Qui coordonne Niouzenet aujourd'hui ? Personne ?? Pourquoi alors Vienne Informatique laisse-t-elle gérer le site http://wwwvienneinfo.org.niouzenet par le Comité ? Pourquoi obéit-elle au Comité quand celui-ci lui demande de fermer un forum ? Puisque Vienne Informatique se dit "accessible à toute requète émanant des contributeurs", j'attends qu'elle réponde à ces questions et à celles que j'ai posées dans mon message "Qu'en dit Vienne Informatique ?". »
    6. Philippe Marasse avancera ensuite deux explications que je démontre être infondées. Le 1er septembre au soir c'est au tour de Marie-Anne Delahaut, pour wallonie.be, et de César Jacquet, pour Guetali, de dénoncer la Charte, ce dernier sans parler des statuts. A chacun je demande si, comme Vienne Informatique ils acceptent le Comité. ma question "Qui, aujourd'hui, coordonne Niouzenet ?" restera sans réponse. Change Espace n'intervient pas.
    7. Au message de Marie-Anne Delahaut, j'avais aussi répondu : « Je prends note de cette déclaration qui fait qu'une majorité de Niouzemestres refuse la Charte de Niouzenet. J'abandonne donc mon action entreprise sous le nom de NiouzeCoord provisoire, ce qui ne signifie pas que je continue celle du contributeur qui prône un Niouzenet conforme aux principes de l'Internet et démocratique. »

  7. 3 - 11 septembre, une Nouvelle Charte pour Niouzenet
    1. Le 3 septembre, je m'adresse à nouveau aux Niouzemestres, en disant notamment : « Les "responsables" de Leibowitz, Stingray, Newz ont fait de graves erreurs. Personne n'a défendu le contraire, me semble-t-il ? Alors qu'il soient exclus pour fautes graves envers les principes de l'Internet. Le retour de Sasi m'apparaît bien plus précieux. Dans la vie publique, je suis contre les hommes politiques véreux, contre les champions sportifs qui trichent, contre les policiers ripoux, contre les hommes d'affaire tricheurs. Je souhaite qu'ils perdent leur poste. Vous réagissez comme moi ? Alors agissez de même sur l'Internet, s'il vous plait. Dans la vie publique, vous préférez les démocraties et leur transparence aux dictatures et à leur opacité ? Alors agissez de même sur l'Internet, s'il vous plait. »
    2. Parallèlement, je réponds à un message de Philippe Marasse, en insistant sue le fait que dans les forums il vaut mieux "prévenir que guérir, parler que censurer". « C'est parce qu'aucun responsable (Coordination, Niouzemestre) n'a parlé en février que certains se sont crus tout permis. Les forums Internet, ce ne sont que des paroles (et quelques images). Si on ne parle pas, c'est qu'on ne veut rien faire, c'est donc qu'on cautionne. ». Je me plains des messages répétés, calomniateurs à mon égard, que postent Thierry Martin et Peter Mouse.
    3. Le 3 septembre, dans un article intitulé "Nettoyage", Philippe Marasse poste un message où il dit : « Suite à une plainte d'Alain Beyrand, j'ai passé la matinée à nettoyer ce forum. Comme il se doit, quand un article est annulé, toute l'enfilade qui en découle est elle aussi supprimée. ». Les messages de Thierry Martin et Peter Mouse dont je me plaignais ont disparu. Philippe Marasse a aussi écrit à Thierry Martin pour qu'il prenne les disposition qui s'impose. Je l'en remercie.
    4. Pourtant, l'après-midi de ce 3 septembre, Thierry Martin poste un nouveau message, reprenant les termes calomniateurs des précédents (notamment « M Beyrand est un pollueur, un saboteur et distille la Calomnie a longueur d'articles. »). J'attends que Philippe Marasse le supprime, puis je lui écrit par courrier, puis le 5 septembre je poste un message pour lui demander de censurer ces calomnies répétitives. Pas de réponse. le silence se fait dans le forum durant deux jours. Le 7 septembre, c'est Thierry Martin qui le romp en répétant ses propos. Vienne Informatique vient de céder à un nouveau coup de force du Comité.
    5. Malgré ce climat délétère, je me risque à poster un gros travail que j'ai préparé : une nouvelle Charte pour Niouzenet, reprenant l'Ancienne Charte, les renforcements que j'avais énoncés le 24 août, avec quelques ajouts, et une partie des Statuts du Comité (principalement les règles internes de fonctionnement de la Coordination). Je publie aussi un comparatif très précis entre cette Nouvelle Charte et les Statuts. J'invite les Niouzmestres à se prononcer sur cette comparaison.
    6. Ce 7 septembre au soir, toujours sur nzn.fr.niouzenet, Peter Mouse poste un message extrêmement ordurier à mon égard. Une vingtaine de message polluants - beaucoup moins violents - suivront. L'enfilade restera présente plus de 36 heures, avant que Philippe Marasse n'annonce sa suppression.
    7. Entre temps, le 8 septembre, un message annonce que Kloo est entré dans le Comité.

  8. 12 - 13 septembre, le Comité veut effacer le passé
    1. Le samedi 12 septembre, Thierry Martin lance une pétition pour que je ferme mon site qui reprend le journal des évènements. Le message est le suivant : « Je demande a ce que M Beyrand alain@pressibus.org supprime tout ecrit me citant nommément, ainsi que tout article posté initialement sur les news NiouZeNet et Usenet, pour violation de la propriété intellectuelle et atteinte a la vie privée, hors exhaustivité du contexte et sans controle personnel sur une annulation, possibilité qui m'est offerte aussi bien sur les supports news et web des forums de discussion Internet, de son site http://www.pressibus.org Et ce sous 8 jours au dela desquels je me réserve le droit de porter plainte devant la CNIL. »
    2. Philippe Marasse puis Tchantchès, Peter Mouse, André Lorimier, Jean-Luc Lelong se joignent à lui. Peter Mouse ment effrontément en rajoutant « D'autre part, un grand nombre de publications me sont attribuées à tord dans ce site. Ceci constituant de la part de l'auteur du site une complaisance indéniable en matière de faux et propagation de faux je me verrai dans l'obligation d'agir également en conséquence. »
    3. Il ment tout autant en disant que ce n'est pas lui qui a posté le message ordurier du 7 septembre, qu'il avait démenti 5 minutes plus tard. Philippe Ladame intervient pour démontrer que ces deux messages n'ont pu être postés que par une même personne.
    4. Je defends mon site en disant, notamment : « Il n'y a pas de propriété intellectuelle dans un article de forum Internet, je n'ai jamais rien lu qui aille en ce sens. Par contre j'ai lu et entendu que le contenu des forums étaient des propos publics à prendre en tant que tels, donc diffusables. »
    5. je dis aussi : « Cela m'oblige à contacter, lundi prochain, un avocat spécialisé en Internet, à qui je demanderai d'étudier ce qui s'est passé, afin qu'il me dise : si je dois supprimer le contenu de mon site ou le corriger (si je n'ai pas encore de réponse d'ici vendredi prochain, j'en modifierai le contenu, par prudence), si je porte plainte contre Vienne Informatique, si je porte plainte contre des personnes qui m'ont insulté ou calomnié. J'ai retardé au maximum cette démarche, en pensant que les choses pouvaient s'arranger. Voir Philippe Marasse s'associer à Peter Mouse (et ses insultes) et Thierry Martin (et ses calomnies) pour gommer le passé de Niouzenet est révoltant et injuste. Je souhaite que Justice soit faite. »
    6. A philippe Marasse, je réponds : « J'attends donc qu'on m'explique précisément en quoi il y a "violation de la propriété intellectuelle" et "atteinte à la vie privée" sur mon site, ou alors qu'on corrige ces allégations. ». Personne ne me répond.
    7. Alf le Kroko publie des articles de la Cnil, qui ne présentent rien de précis s'appliquant à mon site. Je signale toutefois, conformément à ce que j'avais dit le 25 juillet, que je changerai le nom des 6 personnes qui l'ont demandé.
    8. Philippe Ladame dit de son côté : « Quand même ! Si j'écris cet article, c'est pour qu'il soit lu ! Je ne vais pas faire un procès à VienneInfo, s'il le publie ! Et s'il est envoyé sur un autre serveur, ce serveur est-il en faute ? Sûrement pas. J'ai publié, donc c'est public. Mes seuls droits maintenant sont : - que personne ne recopie mon texte en prétendant que c'est de lui, - que mon texte ne soit pas trituré malhonnêtement. A mon avis citer un article de forum **dans son contexte et dans son intégralité**, comme le fait Dejanews, ne devrait pas poser de problème. »
    9. Mais on continue à s'en prendre violemment à mon site, notamment Tchantchès qui s'en prend à l'association Pressibus qui l'abrite indirectement, allant jusqu'à demander ses statuts. J'ai beau dire que l'adresse n'est pas http://www.pressibus.org, mais http://www.pressibus.org/niouzenet et que c'est moi seul qui gère ce site, rien n'y fait. Tchantchès va même jusqu'à publier deux fois de suite des chiffres faux à propos de l'importance du site Niouzenet dans l'ensemble des 10 sites Pressibus.

  9. 13 - 21 septembre, censure systématique de Vienne Informatique
    1. Le 13 septembre, au soir, je poste un message où je dis : « En titrant son message "Re: Adresse où envoyer le courrier avec AR", et en publiant mon adresse personnelle, Jean-Luc Lelong s'en prend à ma vie privée Je demande à Philippe Marasse d'intervenir au plus vite et de me faire part de son action. »
    2. Philippe Marasse répond, R : « hum, là c'est un peu faible... il suffit de se connecter sur le site http://www.pressibus.org/ pour y voir en toutes lettres l'adresse personnelle d'Alain. ». Il ne dit rien sur la demande faite de m'écrire avec Accusé de Réception. Sous le message de Jean-Luc Lelong, il va même jusqu'à confirmer que l'adresse est la bonne.
    3. Je réponds : « Je suis abasourdi de voir ça... Après les insultes, après les calomnies, après le mensonge éhonté de Peter Mouse, Vienne Informatique laisse poster un message appelant à ce qu'on m'envoie des courriers avec AR, sans même préciser pourquoi, sur la base d'informations dont certaines sont diffamantes. Je me rappelle avoir vu sur Usenet quelqu'un indiquant le numéro de téléphone d'un contributeur, sous-entendant qu'on pouvait lui téléphoner. Sans même que celui-ci s'en plaigne, un autre contributeur intervenait pour dire que ça ne se faisait en aucun cas. Et l'enfilade avait été supprimée très rapidement. Oh la la... »
    4. Puis j'essaye de répondre à toutes les choses fausses que l'on dit. Mais je suis censuré. J'arrive un temps, à y échapper en changeant mon adresse de courrier électronique. Puis la censure est complète et systématique. Tous mes messages, même les plus anciens, sont supprimés. Les calomnies restent sans réponse. Il faut qu'un contributeur demande qui est responsable de mon silence pour que Philippe Marasse le dise publiquement le 16 septembre.
    5. Je joins alors un avocat spécialisé en Internet. Il me dit qu'il est possible que la loi française trouve à redire à mon site, si une action est déclenché à mon encontre. Je décide donc de le supprimer, en y laissant que les pages concernant la Nouvelle Charte et le comparatif avec les Statuts. J'y indique que cette presque-fermeture est provisoire, en attendant d'y présenter autrement l'histoire de Niouzenet.
    6. Le 15 septembre, Sur nzn.fr.comité (serveur news.newz.net), Philippe Ladame intervient pour dire : « Je suggère que le comité, organisateur de NiouZeNet, préconise que cette règle de rejet soit supprimée par les newsmasters qui l'ont mise en place. ». Rapidement, il est amené à dire : « Je commence à mieux comprendre par quel type d'engrenage les rapports avec Alain ont dégénéré jusqu'au point actuel. »
    7. Le 18 septembre, le Comité annonce que les forums de Sasi sont transférés sur Leibowitz et Newz.
    8. Le 20 septembre, j'essaye de répondre, sur nzn.fr.comite, à des messages où André Lorimier et Thierry Martin me calomnient. Je me rends compte que j'y suis systématiquement censuré, de la même façon que sur Vienne Informatique (alors que je n'ai alors jamais posté quoique ce soit sur newz.net). J'apprendrai que je suis interdit de la même façon sur Leibowitz. Le 22 septembre, je poste ces "droits de réponse" sur le forum nzn.fr.general de change espace.
    9. Le 24 septembre, Vienne Informatique poste ses règles d'utilisation interdisant sur ses forums « toute critiques mettant en cause directement ou indirectement des personnes physiques ou morales ». Peu après, Leibowitz en fait de même (mot à mot). Mais le premier paragraphe du site Niouzenet http://www.vienneinfo.org/niouzenet continue à dire « NiouzeNet est une Coordination de forums publics, accessible a tous en lecture et en écriture, quel que soit votre F.A.I. (Fournisseur d'Accès Internet). ». Comment peut-on dire que les forums de Niouzenet sont publics quand la liberté d'expression y est bafouée ?

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