Saint-Aubin

QUERONNEAU ou COURONNEAU


A. Mathurin, à Quincey, ! en 1515-1535

En 1520 et 1529, Mathurin COURONNEAU est l'une des nombreuses parties appointées pour dégradation de la garenne de Pont/Seine[1], [2].

En 1521, le nom de Mathurin COURONNEAU est évoqué dans le témoignage de Jean DE VIGNE pour avoir fait usage du bois de Pont/Seine 6 ans auparavant[3].

Mathurin COURONNEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1527 et 1533[4].

En 1535, Mathurin COURONNEAU, de Quincey, est l'un des nombreux témoins appelés lors d'une procédure d'une contestation au sujet du droit de chasse dans les garennes de Pont/Seine[5], [6].


B. Gilles, de Quincey, ! en 1563-1568, × à NN.

En 1563[7] et 1564[8], Gilles COURONNEAU est cité dans une enquête sur la pêche de la rivière d'Arduisson à Quincey.

En 1566 et 1568, Gilles COURONNEAU, de Quincey, est poursuivi pour avoir coupé du bois et avoir pêché dans la rivière d'Arduisson[9], [10], [11], [12], [13].


C. Japhet, possède une maison rue de Cormont, ! en 1572-1575, × à NN.

En 1572, Japhet COURONNEAU fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il possède entre autre une maison rue de Courmont[14], [15].

Japhet COURONNEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1572 et 1575. En 1572, il paye entre autre pour sa femme et pour sa maison. Nicolas ROZEY paye pour lui en 1576[16].