Léonard POTHIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1575 à 1584. Il paye pour sa femme, veuve de Claude DAOUST, en 1575 et 1576. Il paye:
de 1578 à 1583 pour un acquis de Barbe LE MYRE
en 1581 et 1582 pour les héritiers de Laurent BARBETTE
en 1583 et 1584 pour Jean GALLOIS le jeune[4].
En 1575, Léonard POTIER, laboureur à Saint-Aubin puis Quincey achète les droits de succession sur les héritages qui furent à feu Claude DAOUST, manouvrier à Courclain[5].
En 1577, Léonard POTHER, laboureur à Courclain, et Jacquette SIMON sa femme, vendent leur part et portion d'une maison rue Pescheloche, échue audit POTIER par le décès de Anne MATHIEU, mère dudit POTIER, partagée avec ses frères et surs. Il signe, elle ne sait pas signer[6].
En 1576[7], [8], [9] et 1582[10], [11], Léonard POTIER, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet. Il déclare une maison qu'il a acquise à Courclain. Il signe "Lionnard Pothier". En 1623, c'est Pierre GILLES qui reprend cette maison.
En 1583, Léonard POTIER, de Saint-Aubin, achète à Jean ROUSSAT une chambre basse avec grenier et un chas de maison couverte de fer à Courclain, qu'il doit partager en indivis avec Jean BRUYANT (GALLOIS)[12].
En 1585, Léonard POTIER, vigneron à Courclain, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il posséde des héritages déclarés en 1574 par Jean GALLOIS le jeune, en 1574 par Jean GRILLAT, en 1574 par Marion HERAULT, par Claude PIGNY, par Claude DAOUST. Il signe "Lionard Pottier" avec paraphe[13].
En 1585, Léonard POTIER, laboureur à Courclain, époux de Jacquette SIMON, en son nom et ayant les droits de Nicolas POTIER, héritiers de feue Hester POTHIER leur sur, vend une maison rue Pescheloche. Il signe "Liénard Pottier"[14].
Léonard POTIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1593 à 1596. Guillaume GILLES en 1593, Pierre PILLAVOINE en 1593 et Edmée BREGEON de 1594 à 1596 payent pour Léonard POTIER[15].
Léonard POTIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1597 à 1608. Jean et Pierre POTIER (ses fils) payent au lieu de Léonard POTIER en 1609; ils payent de 1610 à 1612[16].
En 1615, Léonard POTIER, laboureur à Quincey, vend à Pierre GILLES la moitié d'une maison à Courclain acquise de Jean ROUSSAT le jeune[17].
En 1616, Léonard POTIER, laboureur à Quincey, et Pierre POTIER, serviteur domestique de Madame du Paraclet font un échange. Pierre POTIER apporte le quart d'une maison à Courclain, à partager par indivis avec Pierre GILLES et les héritiers de feu Jean POTIER et Jacquette SIMON, sa femme, mère dudit Pierre POTIER. Léonard signe et Pierre ne sait pas signer[18].
Léonard POTIER et Jacquette SIMON sont les parents de:
Jean et Pierre POTIER payent censive au seigneur de Saint-Aubin de de 1610 à 1611[20] et de 1612 à 1623[21].
En 1610, Jean POTIER, manouvrier à Saint-Aubin, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il déclare entre autre la moitié d'une maison à Courclain[22].
En 1688, Pierre POTIER, vigneron à Saint-Aubin, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet comme fils de Denise GRILLAT, fille de Paquet GRILLAT[23].
Jean POTIER et Denise GRILLAT sont les parents de:
Dans un arpentage des vignes de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin, Pierre POTIER fait plusieurs déclarations[24].
En 1642, Jean et Pierre POTIER font une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[25].
Pierre POTIER et Charlotte VAUCOULOURS sont les parents de:
En 1651, Pierre POTIER apparaît avec d'autres habitants de Saint-Aubin à l'occasion d'un payement pour abattage de chênes[30].
En 1657, Pierre POTIER, déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin 4 arpents, 48 cordes de terre[31].
En 1657, Pierre POTIER, de Saint-Aubin, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet. Il ne sait pas signer[32].
Pierre POTIER et Catherine MOUGEOT sont les parents de:
En 1610, Pierre POTIER, laboureur à Quincey, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il déclare entre autre la moitié d'un chas de maison à Courclain[34].
Nicolas POTIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin à cause de sa femme en 1580. Claude COLAS paye pour lui en 1581 et 1583. Il paye en 1584[36].
En 1582, Nicolas POTIER, manouvrier à la Chapelle-Godefroy, et Jeanne MATIGNON, sa femme, vendent tous leurs droits en une maison rue Pescheloche, advenus audit POTIER par le décès de Anne MATHIEU, jadis sa mère, les autres parts appartenant aux frères et surs dudit POTIER. Ils ne savent pas signer. Ils ont déclaré vouloir employer le produit de la vente au payement d'une maison à La Chapelle-Godefroy, naguère acquise de Mathias SOMILLON[37].
En 1591, Nicolas POTIER apparaît dans le rôle et état de la formation des eaux-et-forêts de Nogent/Seine[38].
La veuve Nicolas POTHIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1602 à 1604[39].
Nicolas POTIER et Jeanne MATIGNON sont les parents de:
En 1631, Jean POTIER, charron à Saint-Aubin, prend de Jean BARDY, le bail d'une maison couverte de paille à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[40].
Jean POTIER et Marie MARTIN sont les parents de: