Philippe MEUNIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1493, 1498 et 1499 pour son moulin à drap[1].
Plusieurs particuliers de Saint-Aubin payent censive au seigneur de Saint-Aubin de 1504 à 1506 pour des biens acquis d'Etienne MEUNIER[2].
En 1488, Thomas MEUNIER, maçon, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin à cause de Simone, sa femme, fille de feu Perrin GILLES[3], [4].
Thomas MEUNIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1491 à 1500. Il paye pour sa plante et pour divers héritages pris de Guillaume NUGAULT. Ses héritiers payent en 1526[5].
Dans plusieurs censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1531, les héritiers de Thomas MEUNIER déclarent un jardin rue aux Rasles[6], [7].
Dans plusieurs censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532, Simone MEUNIER déclare une maison rue aux Rales avec Jean BEGNET, la veuve de Thévenin BARBOTIN et François VILLAIN[8], [9], [10].
La veuve de Jean MEUNIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1573. Elle paye avec Siret MARQUOT (son second mari) en 1573[11].
En 1572, Simone, veuve de Jean MEUNIER déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin une petite maison. C'est son fils Jean MARQUOT qui passe la déclaration[12], [13].
En 1575/1576[14] et 1582[15], [16], Jeanne MEUNIER déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet un quartier de vigne en l'Essart.