Pierre MEROSSE paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1574 à 1583. Il paye pour plusieurs particuliers de Saint-Aubin, entre autre pour Pierre SIMON en 1583[2].
En 1582, Pierre MEROSSE, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[3], [4].
En 1588, Pierre SIMON échange avec Guillaume MIGOURDIN des biens qu'il possède avec Pierre MEROSSE, et qui furent à Etienne MERLIN[5].
En 1594, Pierre MEROSSE, laboureur à Saint-Aubin, remet "pour entretenir l'amitié" à Guillaume MIGOURDIN un quartier de terre labourable au Champ au Billeux, naguère acquis de Pierre SIMON. Il ne sait pas signer[6].
Pierre MEROSSE paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1593 et chaque année de 1595 à 1611. Il paye pour plusieurs particuliers de Saint-Aubin[7].
En 1605, François MEROSSE et Pierre MEROSSE, son père, sont comdamnés à l'amende[8].
En 1609, Pierre MEROSSE fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[9].
En 1611, une vigne que Pierre MEROSSE tient à rente foncière est saisie par les seigneurs de Saint-Aubin[10].
La veuve de Pierre MEROSSE paye censive et coutume au seigneur de Saint-Aubin de 1612 à 1615[11], [12].
× 28.6.1573 à Claude LANEY, ! en 1612-1615, fille de Claude L., /1573
En 1606, François MEROSSE, manouvrier à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail d'une vigne. Il ne sait pas signer[13].
En 1609, François MEROSSE, manouvrier à Saint-Aubin, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[14].
François MEROSSE paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1609 et 1610[15] puis de 1613 à 1623[16].
En 1623, François MEROSSE, reprend plusieurs héritages déclarés en 1532 au censier de de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin par:
Messire Guillaume BOURJONNE[17], [18]
Jean et Philippon ROUSSAT[19]
Jacquinot MERCIER[20]
× à Jeanne
Les terres vacantes de Sébastien MEROSSE à Crancey sont citées dans le censier de Foujon de 1653-1662[22].
En 1678, Sébastien MEROSSE, manouvrier à Saint-Aubin, déclare une vigne à Potier[23].
×(2) 17.11.1662 à Geneviève GUILLAUME, ne sait pas signer, sage-femme, mendiante, ! en 1689, ° ca 1617, () 9.8.1697, a tesmoigné une grande résignation à la volonté de dieu, fille de Fiacre G. et Catherine GRILLAT
En 1689, Geneviève GUILLAUME, veuve de Sébastien MEROSSE, vigneron à Saint-Aubin, et Edmé DESQUAINS, manouvrier à Saint-Aubin, héritier pour moitié dudit feu Sébastien MEROSSE, son oncle, se déclarent propriétaires d'une maison à 2 chas rue de Courmont. Elle ne sait pas signer, lui signe "E Desquains" avec paraphe[24].