Saint-Aubin
LE BEAU ou BEAU
A. Jean l'aîné, laboureur, ! en 1562-1569, † 1569/1570, × à NN., ! en 1570-1575
En 1562, Jean LE BEAU, laboureur à Nogent/Seine, prend le bail de 36 arpents à Fontaine-Mâcon et Saint-Aubin[1].
En 1564, Jean BEAU l'aîné et Philippe JACOPIN, marchand et laboureur à Nogent/Seine prennent de l'Abbaye du Paraclet le bail de 32 arpents de terre à Fontaine-Mâcon et à Saint-Aubin[2].
Jean BEAU paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1565 à 1569. Sa veuve paye de 1570 à 1575 et ses héritiers en 1578[3].
B. Pierre, ! en 1571-1577, × à Barbe BEGUE
Pierre BEAU paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1571 à 1577[4].
En 1576, Pierre BEAU fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin à cause de Barbe BEGUE, sa femme[5], [6].
C. NNDidier, ! en 1584-1585
Martin, ! en 1583-1593
Didier et Martin BEAU, frères, payent censive au seigneur de Saint-Aubin en 1584 et 1585[7].
Martin BEAU paye censive au seigneur de Saint-Aubin tant pour lui que pour les enfants de Jean BEAU pour cinq années en 1593 et pour 12 années en 1600. Il paye de 1600 à 1611[8].
C.1. Martin, ! en 1612-1620, † 1620/1621
Martin BEAU paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1612 à 1620. Ses héritiers payent entre 1621 et 1623[9].
E. Jean, ne sait pas signer, manouvrier, × à Jeanne BENOIT, † /1698
- Nicolas, ne sait pas signer, de Rigny-la-Noneuse
- Françoise, ne sait pas signer, servante domestique de Leonard ANCEAU, laboureur, ° ca 1673, × 11.8.1698 à Simon VACHÉ, valet de Maître Jean BABELIN, procureur fiscal à Saint-Aubin, signe: Simon Vaché, ° ca 1653, fils de Claude V., laboureur, † /1698, et Edmée OUDIN, † /1698
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F. Jean, Maître, Honorable Homme, signe: J Le Beau, maître chirurgien, de Nogent/Seine, ° ca 1652, × 6.2.1687 Nogent/Seine à Edmée PILLAVOYNE, ° ca 1666, fille de Pierre P., laboureur, † /1687 et Scholastique BARDY, † /1687
- Marie Edmée, ° ca 1702/1703, † 29.9.1712, (†) le 30
- Marguerite
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En 1758, le curé de Ferreux, intervient au nom de Marguerite LE BEAU, fille majeure à Nogent/Seine, seule fille et unique héritière du feu Sieur Jean LE BEAU, maître chirurgien à Nogent/Seine, et Edmée PILLAVOINE, pour le rachat d'une rente constituée par les défunts solidairement avec Pierre PILLAVOINE en 1693 pour l'achat de la succession de Marie BARDY[10].