Saint-Aubin

LANGARD


A. Jean
, ne sait pas signer, meunier du moulin du Paraclet, ! en 1598-1603, † 1603/1604, × à Catherine

En 1591, Jean LANGARD fait partie des habitants de Saint-Aubin qui comparaissent dans le rôle et état de la formation des eaux-et-forêts de Nogent/Seine[1].

En 1598, Jean LANGARD, meunier au Paraclet, figure parmi les témoins assignés pour une enquête[2].

En 1598, Jean LANGARD, meunier, et Catherine, sa femme, sont poursuivis par Nicolas DUPOING. Olivier, serviteur de Jean LANGARD, sa femme et ses deux valets, auraient par force oté les grains de Nicolas DUPOING et l'auraient frappé de coups de bâton[3].

En 1601, Jean LANGARD, meunier, comparaît comme défendeur dans une procédure[4], [5].

En 1602, Jean LANGARD, meunier au moulin du Paraclet, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail de vignes à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[6].

Jean LANGARD paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1603 comme détenteur de 2 maisons dépendant du fief de Courmont. Jean GIRARD paye à cause d'une maison et d'une masure dépendant de Cormont qui fut à feu LANGARD en 1604 et 1606; la veuve de Nicolas CONCOMBRE paye pour la maison à Cormont qui fut à feu Jean LANGARD et sa femme en 1604[7].

Jean LANGARD et Catherine sont les parents de: