Entre 1491 et 1496, Thévenin SOMILLON puis sa veuve payent censive au seigneur de Saint-Aubin pour les héritages de Félisot HUOT[1].
En 1487, Jean HUOT, manouvrier à Saint-Aubin, reconnaît à l'Abbaye du Paraclet une obligation pour les dîmes de Saint-Aubin[2].
Jean HUOT paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1491 et 1506. Il est sans doute le Jean HUOT le vieux qui paye en 1507[3].
En 1488, les héritiers de Colin HUOT font une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Ils détiennent entre autre un accin rue de Courmont, qui fut auparavant à Henriot PETIT PIED et plus tard à Jean HUOT[4], [5].
Les héritiers de feu Colin HUOT payent censive au seigneur de Saint-Aubin en 1491 et 1496 pour leurs héritages de feu PETIT PIED et pour leur maison. C'est Jean HUOT qui tient ces héritages. Les héritiers de Colin HUOT payent à Saint-Aubin en 1506[6].
Guillemin HUOT paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1505 et 1507. Julienne, sa veuve, paye entre 1519 et 1533. Elle paye en 1529 pour sa maison près du pont. Pierre GAULTIER paye en 1527 à Saint-Aubin pour lui et pour la veuve de Guillemin HUOT à cause de 2 arpents d'essart acquis de Jeanne PINART[8].
Julienne veuve de Guillemin HUOT, Noëlle, épouse de Pierre GAULTIER et Thévenin, les BARBOTIN, font une déclaration commune au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin entre 1535 et 1538[9].
En 1548, Georges HUOT, intervient dans une enquête à Saint-Aubin. Il est sergent royal sur le fait des aides et tailles de Nogent/Seine. Il est âgé de 55 ans[10].
En 1562, la veuve de Georges HUOT à Nogent/Seine comparaît avec les descendants de Jean HUCHER à cause de Guyon GAULTIER[11].