Saint-Aubin

[1] Le 6 ou 16.8.1500, enquête à la requête des religieuses du Paraclet contre Marguerite et Charlotte d'Armagnac, dames de Nogent et Pont/Seine, au sujet des droits de pâturage des troupeaux des religieuses à Saint-Aubin et Quincey sur les terres et jusqu'aux murs du Parc de Pont (dont elles ont été déboutées en 1540) par Guyon COIFFART, lieutenant du Prévôt de Troyes.

vers 7 heures du matin, les témoins sont auditionnés en l'hôtel de Gillet GILLOTTE à Quincey:

les témoins contre les demoiselles: Félisot ROMILLY, Jehan GALLOYS l'aîné, Jehan BONHOMME l'aîné, Thibault GAULTHIER, Jehan BELLEMERE, Aubin CHOSAT, Jehan MATURIN, Jehan DE LA FONTAINE, Jehan GALLOYS dit Guillemynot, Huguenin LE PIED, Martin HUGUENIN, Jehan GRANT HOMME, Guynot PETIT PIED et Simonnet BROQUART

les témoins pour les demoiselles: Maître Denis GROMART, Jehan BONHOMME le jeune, Jehanin HUGUENIN, Jaquot MOREMBERT, Perrin CHARPENTIER, Jaquin MECHIN et Jaquin CHEVRIER [AD 10 - E* 2860 & 24 H 66]

[2] Gillet GILLOTE paye cens à Saint-Aubin en 1507; il paye en 1510 pour un quartier de terre avec P.re DUCLOS; il paye en 1513 pour cens et en 1520; il paye en 1510, 1511 et 1513 avec Jehan HUCHER, Jehan MERLIN et Jehan DE VIGNES pour un demi arpent de terre et vigne [AD 10 - E* 2880]

[3] Le 1.6.1507, devant Gilles GILLOTTE et Etienne DUCLOS, notaires de la prévôté, Michel POISIEULX dit Cadorat, seigneur de Puisieulx, Fojon et Quincey, baille un sault auquel soulait un moulin à Marant DE COMPTE, demeurant à Quincey [AD 10 - 24 H 94]

[4] Le 1.7.1512, devant Claude POUGEOISE, garde des sceaux de Nogent avec Estienne DUCLOS et Gilles GILLOTE, notaires jurés, qui signent "G Gillote" avec paraphe et "E Duclos" avec paraphe, Jean PILLAVOINE, laboureur demeurant à Saint-Aubin, prend des religieuses du Paraclet, représentées par Messire Jehan DORIGNY, prêtre, le bail des dîmes de Saint-Aubin. Caution: Jaquin MIGORDIN, demeurant audit lieu [AD 10 - 24 H 100]

[5] Dans une sentence du 10.2.1520 pour dégradation de la garenne de Pont sont appointés les parties suivantes: Gillet LIETARD, Jeh. GUILLE., Gillet PAYEN, Pierre COUSTUR., Phle BONNERAT, la veuve Thomas MOTET, la veuve Estien. DU CLOZ, Jeh. ROSE, Clement BAILLIGAULT, la veuve Jehan DES MASSUES, la veuve P.re DU CLOS, P.re DU CLOS le jeune, Gillet GILLOTTE, George BARBOTIN, Denis DU CLOS, Mathurin COURONNEAU, Jehan COURONEAU, Jehan LE HUCHER, tous en personne sauf la veuve DU CLOZ représentée par sa fille [AD 10 - E* 2821]

[6] Le 29.12.1521, enquête sur la fin et limites de la Garenne de Pont, du procureur du roi contre Michel DE POISIEU, chevalier, seigneur de Fojon, de Dame Marguerite DE VELU, sa femme. Information pour grosses entreprises de dégâts faits en la garenne de Pont. Comparaît:

Jehan GALLOIS dit Monsieur, laboureur à Saint-Aubin, âgé de 50 ans ˜. Il dit être né à Saint-Aubin, où il demeure depuis sa naissance, et que depuis 30 ans il a fréquenté la garenne. Il y a 6 ans environ, feu Thevenin DUCLOS, en son vivant laboureur demeurant à Quincey, pris et retint à titre de cens ou rente du Sieur ou Dame de Fojon, 10 à 12 arpents de bois, et qu'il fit essarter et mettre en nature de labour. Depuis 4 ans, un nommé Gillet, Gillet GILLOTTE, George BARBOTIN, Pierre DUCLOS le jeune, feu Pierre DUCLOS, feu Jehan DES MASSUES, Gillot PAYANT, Messire Estienne DRU et autres, demeurant à Quincey, ont pris des seigneur ou dame de Fojon environ 100 arpents de terre, à essarter. Il cite Monsieur DE PAROIS, procureur des seigneur ou dame de Fojon, il y a 5 ou 6 ans. Il cite feu Jehan DES MASSUES, en son vivant fauconnier des sieur ou dame de Fojon, qui fut trouvé par les garenniers de ladite garenne il y a 6 à 8 ans à tendre des lacets et collets, et fut fait prisonnier et mener à Nogent où il fut condamné à l'amende par les officiers dudit lieu [AD 10 - E* 2813]

[7] Déclaration au terrier du 15.9.1530 de Gillet GILLOTTE pour 1 quartier 1/2 de terre [AD 10 - E* 2875]

[8] Censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin:

Les 13.9.1530 et 21.4.1531, Gillet GILLOTTE déclare 1 quartier 1/2 de vigne au Houssoy [AD 10 - 24 H 81bis]

[9] Déclaration au terrier du 15.9.1530 de Gilles GILLOTTE et Jehan VOITERIN pour 3 quartiers de terre [AD 10 - E* 2875]

[10] Censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin:

Les 13.9.1530 et 21.4.1531, Gillet GILLOTTE et Jehan VOICTERIN pour 3 quartiers de terre au Houssoy, entre les mêmes et les hoirs Symonnet BROCART, le grand chemin de Nogent et audit VOICTERIN par acquêt de Jehan HUCHER [AD 10 - 24 H 81bis]

[11] Le 29.6.1535, Gillet GILLOT (ou Guillot GILLETTE, à Quincey) est témoin dans un procès verbal d'enquête au sujet d'un bois taillis appartenant aux seigneurs de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2860 & 2813]

[12] Le 21.11.1541, dans une enquête sur l'étendue de la Garenne de Pont, est entendu comme témoin à Nogent/Seine, en l'hôtellerie de Noël LE MADRE où pend l'enseigne de la corne de bœuf:

Gillet GILLOTTE, marchand laboureur à Quincey, âgé de 72 ans environ, témoin pour Laurent NUGAULT. Il est demeurant au village de Quincey depuis 50 ans ou environ.

il témoigne sur le droit de justice, censive, lods et ventes, défauts et amendes

il a oui dire un nommé feu ROMILLY, demeurant à Saint-Aubin, mort il y a 18 ans, âgé comme il le disait de sept-vingt (140 !) ans environ que les seigneurs de Saint-Aubin jouissaient de ces terres sans trouble par les officiers de Nogent/Seine

et un nommé feu DE LA FONTAINE, demeurant à Saint-Aubin, mort il y a 20 ans environ, âgé comme il le disait de 100 ans environ, sur le droit de chasse des seigneurs de Saint-Aubin

il y a 3 ou 4 ans, il a vu Jehan BAIGNAULT et Jehan PREVOSTAL qui ont fait couper un endroit de bois taillis près de la Muette, vendu par les officiers du roi

il a vu 36 ans auparavant les religieuses du Paraclet mener leurs bêtes dans ce bois [AD 10 - E* 2860]

[13] Le 8.5.1562, Edmé GUILLEMART à cause de sa femme et Symon DOSSANGE à cause de sa femme, demeurant à Quincey, Loys GILLOTTE demeurant à Ferreux, Hillaire LA RIBLE et Eugénie DU CLOZ veuve de Claude GARNIER, à cause d'elle, Gilles GILLOTTE demeurant à Pont/Seine, la veuve de Jehan HUCHER à cause de son dit feu mari, la veuve d'Ambroise SYMON demeurant à Sainct-Aubin, Nicolle veuve de Georges HUOT demeurant audit Nogent à cause de Guyon GAULTIER, la veuve d'Estienne MERLIN de Saint-Aubin à cause dudit défunt, Martin THIERRY, Pierre COLLET tant en son nom et comme se faisont et portant fort pour Didier CALLOT son frère, Jehan BRIGEON défendus le 17.6.1558 par Benoist TIXERRAND, sergent royal au bailliage, Maître Nicolas BARBETTE leur procureur, Maître Jehan ANDRY leur procureur, défendus auparavant par Maître Jehan BERTIN, possesseurs et détenteurs du gaignage des Mergers par rente viagère des abbesses du Paraclet, d'environ 9 x 20 arpents moyennant 12 grands septiers de blé plus un autre gaignage appelé La Chaulme, avec maison, accin et 20 arpents pour 20 sols tournois de rente viagère, par baux faits aux prédécesseurs des défendeurs. Mention de 6 boisseaux de froment et 14 1/2 boisseaux d'avoine, 11 boisseaux de froment, 11 1/2 boisseaux de seigle, 11 1/2 boisseaux d'orge, 11 1/2 boisseaux d'avoine, arrérages dûs depuis 1558 pour le gaignage de La Chaulme. Signé "Bureau".

Un autre acte du 29.5.1569. [AD 10 - 24 H 100]

[14] Le 16.1.1574, Anthoyne DU ROCHERET, écuyer, seigneur de la Petite Aulne et de la Punbaudière (?), conseiller du roi notre sire, bailli de Nogent/Seine, pour une requête du 10.7.1573, de Loys GILLOTTE, laboureur demeurant à Quincey et Nicolle (ou Noëlle) GILLOTTE, veuve de Jean PAYANT aussi demeurant audit lieu, à l'encontre des abbesses du Paraclet, a dit que pour leur vieillesse, débilité et impuissance et autres causes et raisons à plein mentionnées en leur requête au jour de bail à eux fait par les abbesses à leurs aïeux desdits GILLOTTE du gaignage des Mergers et La Chaulme, nonobstant la dernière vie qui restait encore à présent en leurs personnes, remettent le bail, promettent payer les arrérages, cesser les troubles, prendre fait et cause pour les abbesses. Sont présents Loys GILLOTTE et LARGENTIER son procureur, portant fort pour Noëlle sa sœur, le 15.1.1574. Signé "Jehanne CHABOT" et "Maitre Jehan ANDRY, prêtre".

Rendu le bail fait à feu Jehan HUCHER et Félison sa femme le 6.4.1488 contre un grand muids de blé, 2 grands livres de cire et 20 sols tournois. [AD 10 - 24 H 100]

[15] Le 27 ou 30.10.1548, enquête et examen de témoins par Guillaume BERTHELMY, conseiller du roi, à la requête de Noble Homme Laurens NUGAULT, écuyer, seigneur de Saint-Aubin:

Loys GUILLOTE, laboureur demeurant à Quincey, âgé d'environ 36 ans.

Il connaît depuis 25 ans et plus Pierre PONCE, laboureur à Quincey (Pierre PONCE, laboureur demeurant à Quincey, natif d'Avant. 16 à 18 ans sont et plus il est demeurant à Quincey et que lors et au temps de 5 ans sont et plus, ledit PONCE était serviteur domestique des abbesses du Paraclet. En 1544-45, il tenait à ferme des religieuses du Paraclet les dîmes qu'elles ont à Quincey. Ledit PONCE et ses enfants ont été nourris en l'Abbaye du Paraclet)

Il connait Jehan CAILLEY l'aîné, laboureur audit village dont il est compère pour avoir tenu un enfant d'icelui CAILLEY sur les fonds. En mars 1543, ledit CAILLEY a été condamné par le Mayeur de Quincey à 20 sols d'amende pour parjure avec Jehan LE NAIN.

Il a été greffier de Quincey l'espace de 10 ans.

Il connaît Didier ADAM pour avoir demeuré en la maison d'icelui ADAM et avoir été à l'école lors et au temps qu'il y demeurait. Il cite Nicolas ADAM, fils de Didier, serviteur en l'Abbaye du Paraclet (Didier ADAM, en son vivant demeurant au village de Tremblay. Il fut Maire il y a 30 ans et plus. Quelque peu auparavant son décès qui fut 3 ou 4 ans sont et plus, il tomba en grande fortune et nécessité pour raison du feu qui vint en sa maison - le jour de la Toussaint il y a 18 ou 19 ans -. Il se retira en la maison du Capitaine et la femme dudit ADAM allait demander pain et vint en l'Abbaye du Paraclet pour autant qu'il avait fait service en l'Abbaye de tout leurs temps et jeunesse et qu'un des enfants dudit ADAM demeurait en l'Abbaye) [AD 10 - E*2809]

[16] Sentence du bailli de Troyes portant adjudication par retrait lignager de la moitié du fief de Maugis à Martine LE DANIEL, veuve de Christophe GILLOTTE, maître chirurgien à Pont/Seine, le 17.6.1610. Contrat de vente de la seigneurie de Maugis par Martine LE DANIEL à Jacques DE HARLAY le 13.8.1612 [AD 10 - E* 2894]

[17] Claude LE DUCHAT est cité seigneur de Maugis en 1536 [AD 10 - E* 2928]

[18] Dans le terrier de Pont/Seine de 1597 apparaissent Martine LE DANIEL, veuve de Maître Cristople GILLOTE, et Maître Gilles GILLOTE, Claude BREJON à cause de Denise GILLOTE sa femme, et Agnée GILLOTE, veuve de Phillippe BELIN, ses enfants. Plus loin apparaît Xpofle GILLOTTE, maître chirurgien demeurant à Crancey [AD 10 - 29 H 14]

[19] Le 5.1.1618, Gilles GILLOTTE, docteur en médecine à Nogent/Seine, prend le bail d'un grand corps de logis couvert de tuiles à Nogent/Seine. Il signe "G Gillotte" avec paraphe [AD 10 - 2 E 66/3]

[20] Le 26.4.1634, Noble Homme Maître Gilles GILLOTTE, docteur en médecine demeurant à Nogent/Seine, héritier de feue honnête femme Martine LE DANEL, sa mère, vend à Honorable Homme Félix BEGAT, marchand demeurant à Nogent/Seine, 12 livres 17 sols de rente faisant partie de 17 livres 13 sols 4 deniers de rente constituée au profit de feue Demoiselle Denise NUGAULT, veuve de feu Noble Homme Maître Jehan DUCHAT par feu Nicolas COURCIER (?) et feue Barbe ROBART sa femme, demeurant à Nogent/Seine, le 3.6.1588 devant BERTIN, et transportée à ladite LE DANEL par Maître Jacques DUCHAT, héritier de ladite NUGAULT pardevant COUSIN & LARGENTIER le 2.11.1619. Claude BUGNOT, marchand à Bernière, sa femme, et leurs consorts, sont héritiers des feus COURCIER et ROBERT le 20.9.1627 [AD 10 - 2E 66/8]

[21] Le 11.11.1634, Jacques BARAT, charron à Pont/Seine, reconnaît une dette envers Noble Homme Maître Gilles GILLOTTE, docteur en médecine demeurant à Nogent/Seine, pour 60 livres restant sur 120 pour la vente des ormes d'un jardin à Pont/Seine. Il signe "G Gillotte" avec paraphe [AD 10 - 2E 66/8]

[22] Dans le terrier de Foujon de 1636, déclaration n° 127 de Anne HERMAND, jouissant des droits de Dame Nicolle GUYON, veuve de Maître Gilles GILLOTTE [AD 10 - E* 2960]

[23] Dans un contrat de mariage du 29.7.1618 (déchiré) sont cité "… PIERRON, advocat en … Nogent, son frère … audiencier en l'élection dud. Nogent … et ladite GILLOTTE dud. Sr GILLOTTE son père et … Maître Pierre GUYON, conseiller du roi, bailli de Pont sur Seine, oncle de ladite Françoise, et Honne. Claude BRIGEON, marchand demeurant aud. Nogent, aussi son oncle, Honnête Femme Martine LE DANEL, a ïeule et Nicolle LE DANEL grand tante de Françoise, Blaise PIERRON. L'acte est signé "G. Gillotte", "B. Pierron", "Françoise Gillotte", "Martine Le Danel", "P Guyon", "Pierron", … [AD 10 - 2 E 66/3]

[24] Témoins: Nobles Hommes Pierre GILLOTTE, lieutenant G.n.al, Estienne MASSEY, lieutenant aux Eaux-et-Forests, Daniel GILLOTTE, eslu, Philbert GILLOTTE, ses neveux

[25] Dispense de consanguinité du 26.4.1649 pour le mariage de Maître Gilbert GILLOTTE, docteur en faculté de médécine, et Marguerite GUICHON, de Nogent. Déposent:

Honnête Femme Dame Anne BARBETTE, femme d'Hector BELIN, procureur au bailliage de Nogent, âgée de 77 ans environ, qui déclare que Estienne LE DUCHAT avait 2 filles Agnée et Marie. Agnée épouse de Maître Christophle GILLOTTE, d'où Gilles GILLOTTE, époux de Nicolle GUYON, d'où Maitre Gilbert GILLOTTE. Marie, épouse de Maître Anthoine LEGRAND, d'où Samuel, époux de Margueritte BARBETTE, d'où Françoise, épouse de Maître Claude GUICHON, d'où Margueritte GUICHON.

Denise GILLOTTE, épouse de Honorable Homme Claude BRIGEON, marchand à Pont/Seine, âgée de 58 ans, qui déclare que Estienne LE DUCHAT avait 2 filles Agnée et Marie. Agnée épouse de Maître LE DANEL, d'où Martine, épouse de Maître Christophe GILLOTTE, d'où Maître Gilles GILLOTTE, époux de Nicolle GUYON, d'où Maitre Gilbert GILLOTTE. Marie, épouse de Maître Anthoine LEGRAND, bailli de Nogent, d'où Samuel, époux de Margueritte BARBETTE, d'où Françoise, épouse de Maître Claude GUICHON, d'où Margueritte GUICHON.

Noble Homme M. Jacques PERRIN, conseiller du roi et son avocat au bailli. de Nogent, âgé de 68 ans, qui connait feue Marie LE DUCHAT pour avoir épousé sa petite-fille Jehanne BARBETTE; Maître Samuel LEGRAND, bailli de Treignel, était son fils, oncle de ladite BARBETTE, et icelui LEGRAND a épousé Margueritte BARBETTE, cousine germaine de ladite Jehanne BARBETTE, que du mariage LEGRAND-BARBETTE est issue Françoise LEGRAND, épouse de Maître Claude GUICHON, vivant avocat et procureur du roi à Pont/Seine, d'où Margueritte GUICHON. Martine LE DANEL, épouse de Maître Christophle GILLOTTE, chirurgien à Pont et Marie LE DUCHAT, aïeule de ladite Jehanne BARBETTE, que ladite LE DANEL était sa nièce; du mariage GILLOTTE-LE DANEL est issu Maître Gilles GILLOTTE, docteur en médecine, époux de Nicolle GUYON [AD 10 - G 4475]

[26] Dans le fichier Chandon [AD 10], la fiche LE DUCHAT mentionne "CDM Ant. LE GRAND x Marie fa Jac. ec. Pont SS P Jac. Sgr de la Villeneuve CaumGrand"

[27] Dans le terrier de Gélannes, le 25.6.1667, Noble Homme Maître Pierre GILLOTTE, conseiller du roi, lieutenant général au bailliage de Nogent, Jean-Baptiste GILLOTTE, avocat en parlement, Estienne MASSEY, grenetier au grenier à sel à cause de Demoiselle Barbe GILLOTTE, et Marie GILLOTTE, émancipée par justice, sous l'autorité de Noble Homme Maître Philbert GILLOTTE, docteur en médecine, demeurant à Nogent/Seine, son oncle et curateur, fondé de procuration de Philibert GILLOTTE, son neveu, aussi émancipé par justice, tous héritiers de Noble Homme Pierre GILLOTTE, leur père, conseiller du roi, lieutenant criminel de l'élection de Nogent et feue Demoiselle Jeanne CHOUART, leur mère, déclarent:

1/2 arpent de terre à La Grosse Saille

1/2 arpent de terre en 2 pièces, à la voie Bernaise et à La Croix Mignon

Ils signent "J B Gillotte" avec paraphe, "J Gillotte", "E Massey" avec paraphe, "S Lefebure", "Marie Gillotte", "J Gillotte" [AD 10 - 2 6 G 107*]

[28] Le 13.3.1688, Maître Thibault DUMONDE, avocat en parlement demeurant à Sens, époux de Demoiselle Françoise GILLOTTE, procureur de Pierre Philbert GILLOTTE, son beau-frère, cavalier dans la compagnie du Comte d'Argenteuil, s'accordent à propos de la succession de Samuel LEGRAND, son oncle, avocat en parlement [AD 10 - 2 E 66/29]

[29] Le 23.12.1695, acte de succession de Philibert GILLOTTE [AD 10 - 2 E 66/32]

[30] Le 9.8.1697, acte de succession de Philibert GILLOTTE [AD 10 - 2 E 66/34]

[31] Le 29.6.1664, Pierre et Jean-Baptiste GILLOTTE, avocats en parlement et consorts, héritiers de Demoiselle Jeanne CHOUART, veuve de Noble Homme Pierre GILLOTTE, conseiller du roi, lieutenant en l'élection de Nogent/Seine [AD 10 - 2 E 66/18]

[32] Le 6.7.1666, interviennent Noble Homme Maître Pierre GILLOTTE, conseiller du roi, lieutenant général au bailliage, Estienne MASSEY, conseiller du roi, grenetier au grenier à sel de Nogent/Seine, Philbert GILLOTTE, docteur en médecine, au nom de Maître Philbert GILLOTTE son oncle et tuteur de Demoiselle Marie GILLOTTE, émancipée par justice, épouse de Edmé DESPLATZ, avocat en parlement, ledit Pierre GILLOTTE se porte fort pour Noble Homme Maître Jean Baptiste Gaston GILLOTTE, avocat en parlement, héritiers de feue Jeanne CHOUART, veuve de Noble Homme Maître Pierre GILLOTTE, conseiller du roi, lieutenant criminel en l'élection de Nogent/Seine [AD 10 - 2 E 66/19]

[33] Témoins: M.re Philbert GILLOTTE, docteur en médecine, curateur et oncle de l'épouse, M.re Pierre GILLOTTE, con.er du roi, lieutenant général, frère, M.re Gaston GILLOTTE, avocat en parlement, frère