^[1] Le 9.1.1642, Claude GILLOPPÉE, marchand à Courceroy, prend le bail de la terre de Saint-Aubin. Mention d'un contrat du 24.10.1641 avec Laurent NUGAULT et Jehanne PARASTRE sa femme [AD 10 - E* 2888]

^[2] Dans un acte des eaux-et-forêts du 21.2.1643 comparaissent pour Saint-Aubin: Monsieur LAURENCEAU, Madame BARDY, Claude ROZÉ, Nicolas MASSEY, Jehan DUREAU, Jehan EDMARD, Claude DUDICT LIEU, Monsieur GILLOPPÉ, Jehan SIMON, Nicolas GALLOYS l'aîné, Charles PILLAVOYNE, Renos COLLAS, Anthoine BOSSU, Anthoine THOMAS et Bon CLEREAU [AD 10 - E* 2803]

^[3] Le 16.7.1643, apparaissent dans un contrat Maître Simon LE FEBURE, procureur fiscal de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, et Honorable Homme Claude GILLOPPÉ, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2872]

^[4] Le 11.4.1646 comparaissent Claude GILPE, marchand, Jehan GILLES, lieutenant en la mairie, Bon CLEREAU, procureur, Sebastien FONTAINE, greffier, Nicolas MAISTRE, sergent en la mairie, Turpin COURTOIS, Charles PIBACOUR, Michel PONCE, … [AD 10 - E* 2864]

^[5] Le 19.5.1651, Claude GILLOPPÉ, fermier et admodiateur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, époux de Gillette LEFEBURE, prend le bail de la terre de Saint-Aubin. L'acte est signé "Gilloppé" avec paraphe et "Gillette Lefebure" [AD 10 - E* 2888]

^[6] Le 3.4.1655, interviennent Jacques BAILLET, arpenteur juré à Saint-Aubin, assisté de Monsieur François BARDY, greffier en la Mairie de Saint-Aubin et Jean PONSE, serviteur domestique de Honnête Femme Gillette LEFEBURE, veuve de Honorable Homme Claude GILLOPPE, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, pour l'arpentage de la moitié de la seigneurie de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2859]

^[7] Le 1.6.1688, Honorable Homme Jean GILLOPÉ, chirurgien, et Estienne RUELLE, qui ne sait pas signer, manouvrier, demeurant à Courceroy, retiennent à titre de loyer de Honnête Femme Marie GILLOPÉ, veuve de Gervais VERNIER, laboureur demeurant à Fontaine-Mâcon, 15 arpent de terre labourable à Courceroy, plus 3 arpents 1/2 de pré et 3 quartiers de bois à Courceroy. L'acte est signé "Marie Gilopé", "Jean Gilloppé" avec paraphe [AD 10 - 2 E 66/29]