Saint-Aubin

GILLOPÉ

Famille fondée par Claude, marchand à Courceroy, venu à Saint-Aubin après en être devenu le receveur.


A. Claude, Honorable Homme, signe: Gilloppé avec paraphe, marchand à Courceroy, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, ! en 1640-1651, (†) 25.9.1652 en l'église, × à Honnête Gillette LE FEUBRE, signe: Gillette Le Feuvre, ! en 1655, ° ca 1615, (†) 15.2.1687, ×(2) à Maître Claude GALLION, procureur "p… les partyes" et chirurgien, fille d'Etienne L. et Catherine GUYON

En 1642, Claude GILLOPÉ, marchand à Courceroy, prend le bail de la terre de Saint-Aubin[1].

En 1643, Monsieur GILLOPÉ est assigné comme témoin avec d'autres habitants de Saint-Aubin dans une procédure des Eaux-et-Forêts de Nogent/Seine[2].

En 1643, Honorable Homme Claude GILLOPÉ, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, comparaît dans un contrat[3].

En 1646, Claude GILLOPÉ, marchand, est témoin avec d'autres habitants de Saint-Aubin[4].

En 1651, Claude GILLOPÉ, fermier et admodiateur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, et Gillette LEFEBURE sa femme, prennent le bail de la terre de Saint-Aubin. Ils signent "Gilloppé" avec paraphe et "Gillette Lefebure"[5].

Dans un acte de 1655 intervient Jean PONCE, serviteur domestique de Honnête Femme Gillette LEFEBURE, veuve de Honorable Homme Claude GILLOPÉ, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin[6].

Claude GILLOPÉ et Gillette LE FEBURE sont les parents de:

En 1688, Honnête Femme Marie GILLOPÉ, veuve de Gervais VERNIER, laboureur à Fontaine-Mâcon, baille des terres, prés et bois à Courceroy. Elle signe "Marie Gilopé"[7].