Saint-Aubin

GALLOIS[1]

La famille GALLOIS est l'une des plus anciennes à Saint-Aubin (Courclain). Il semble que les premiers membres de cette famille, cités à la fin du XVème siécle, appartiennent tous à la branche des GALLOIS dit Guilleminot.

Au début du XVIème siècle, la plupart des membres de cette famille se prénoment Jean, ce qui rend leur identification difficile. Il semble qu'au moins 3 Jean GALLOIS furent alors contemporains, il furent surnommés le jeune, le moyen et l'aîné, les deux derniers étant probablement frères.


A. Raulin, ! en 1458

Raulin GALLOIS est cité en 1458 dans la déclaration de foi et hommage de Robert DE TIGECOURT pour Saint-Aubin[2].


Branche des GALLOIS dit GuilleminotB. Guillemin dit Guillot, ! en 1488-1490, † /1491

Le nom de Guillemin GALLOIS est évoqué en 1500 dans dans plusieurs témoignages d'habitants de Saint-Aubin[3], [4].

En 1488, Guillemin GALLOIS fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Il déclare:

son accin et pourpris à Courclain, voisin de Jean GALLOIS dit Guilleminot l'aîné, et plus tard repris par Félisot GALLOIS

un demi arpent de terre qui provient de Thévenin SOMMILLON et auparavant de Collin SOMMILLON[5].

Sur ce même terrier, Gérard MAISTRE déclare à cause de Guillemin GALLOIS dit Guillot la moitié d'un accin, cour, jardin et pourpris rue au Rasles qui fut au père dudit GALLOIS[6].

Guillemin semble être ascendant de:


C. Colin dit Guilleminot ou dit des bouchons, de Courclain, ! en 1491-1513, † 1513/1519

Colin GALLOIS dit Guilleminot ou dit des Bouchons paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin et La Chapelle-Godefroy de 1491 à 1513. En 1510, il est dit de Courclain.

En 1491, Colin GALLOIS dit des bouchons paye à La Chapelle-Godefroy pour une pièce de terre assise à la Garenne et pour 5 quartiers de terre assise au dessus du pont au pied.

De 1491 à 1507, Colin GALLOIS dit Guilleminot - dit des bouchons en 1507 - paye pour 25 arpents de terre qu'il tient (des héritiers) de Pierre et Innocent CORRAT de Troyes.

En 1500 à 1504, Colin GALLOIS paye à La Chapelle-Godefroy pour une pièce de terre qu'il a acquise du GRANT HOMME de Marnay/Seine.

Plusieurs particuliers de Saint-Aubin payent censive pour des achats fait de Colin GALLOIS:

en 1502, Philbert LE PIED à La Chapelle-Godefroy pour trois arpents de terre près de la Vieille Muette et en 1510 à Saint-Aubin pour un demi arpent de terre

de 1504 à 1507, Jean MERCIER dit le Bégue à Saint-Aubin pour des terres et prés

en 1504 et 1505, Félisot ROUSSAT, pour six arpents de terre au chemin de Carroge

en 1505 et 1507, Jean DOURY à Saint-Aubin pour une saussois et pour une oche

en 1505, Régnault ROUSSAT à La Chapelle-Godefroy pour trois arpents et demie de terre

en 1507, Noël SYMON à La Chapelle-Godefroy, pour 3 quartiers, puis en 1513 et 1517, Jean SIMON pour 3 quartiers

en 1518, la veuve de Pierre DOURY à Saint-Aubin pour 3 arpents de terre.

En 1519, Jean CHAPELOT paye à Saint-Aubin pour les héritiers de Collin GALLOIS. En 1521, Félisot GALLOIS paye à La Chapelle-Godefroy un denier pour Collin GALLOIS[10].


D. Jean dit Guilleminot l'aîné ou le vieux, laboureur à Courclain, ! en 1488-1506, † 1506/1507, × à NN., † /1496

Jean GALLOIS dit Guilleminot fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin de 1488, en particulier pour une masure, accin et pourpris à Courclain à cause de Jean COLLET[11]. Cette masure sera plus partagée par moitié entre Jean DOURY et les héritiers dudit GALLOIS.

Jean GALLOIS dit Guilleminot l'aîné paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1491 et 1506. Ses héritiers payent censive entre 1507 et 1513. Dans sa déclaration:

Il intervient en 1491 et 1496 pour les héritages qu'il a eu de feu Jean COLET.

Les héritiers de feue sa femme sont cités en 1496 à cause d'une oche assise à Courclain.

Ses trois enfants payent pour ou avec lui entre 1500 et 1506.

Sa déclaration en 1502 à la Chapelle-Godefroy contient un reçu de Pierre GALOIS dit Guillot, pour un quartier de vigne payé par son père[12].

Jean GALLOIS dit Guilleminot, est témoin en 1500 dans une procédure opposant les religieuses du Paraclet aux Dames de Nogent/Seine[13], [14].

Jean GALLOIS dit Guilleminot l'aîné est le père de trois enfants dont:


D.1. Jean dit Guilleminot le jeune, puis dit Monsieur, dit l'aîné, laboureur, ! en 1500-1546, fermier des exploits et amendes de la justice et seigneurie de Saint-Aubin, † 1546/1548, × à Agnès SOMILLON, peut-être fille de Thévenin S.

Jean GALLOIS dit Guilleminot le jeune paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1500 pour les héritiers de feu Thévenin SOMMILLON. Il est sans doute le Jean GALLOIS dit G. dit Monsieur qui déclare en 1507 trois parts des héritages SOMMILLON et entre 1510 et 1513 quatre parts de ces héritages. Il comparaît encore après cette date comme:

Jean GALLOIS dit Monsieur en 1518, 1520, 1527, 1528 et 1529

Jean GALLOIS dit Guilleminot en 1521, 1526 et 1533

Jean GALLOIS le jeune fils de Jean GALLOIS dit Gu… en 1529[15]

En 1503, Jean GALLOIS dit Guilleminot le jeune, laboureur demeurant à Saint-Aubin, prend des religieuses du Paraclet le bail des gros dîmes de Saint-Aubin[16].

En 1515, Jean GALLOIS dit Guilleminot est témoin dans la procédure d'une contestation au sujet du droit de chasse dans les garennes de Pont. Il se dit laboureur demeurant à Saint-Aubin; il est âgé de 40 ans - donc né vers 1475 - et dit être né à Saint-Aubin[17].

En 1521, Jean GALLOIS dit Monsieur est de nouveau appelé comme témoin dans cette procédure. Il est laboureur à Saint-Aubin, âgé d'environ 50 ans - donc né vers 1471 - et né à Saint-Aubin, où il a toujours demeuré[18].

En 1524, Jean GALLOIS dit Monsieur, laboureur à Saint-Aubin, et Agnès SOMMILLON, sa femme, vendent 6 quartiers de terre à Marie LE BLANC[19], [20].

En 1529, Jean GALLOIS dit Monsieur est de nouveau temoin dans la procédure d'une contestation entre Laurent NUGAULT, seigneur de Saint-Aubin, et les religieuses du Paraclet[21].

En 1535, Jean GALLOIS dit Monsieur est encore cité témoin dans plusieurs enquêtes[22], [23].

Jean GALLOIS dit Monsieur l'aîné apparaît dans une liste des habitants de Saint-Aubin établie en 1541[24].

Jean GALLOIS dit Monsieur est cité pour la dernière fois en 1546, alors qu'il est avec d'autres pressenti pour être le tuteur des enfants de François VILLAIN et Laurence[25].

Jean GALLOIS dit Guilleminot est mort avant 1548, date à laquelle son fils Jean GALLOIS comparaît comme témoin dans la procédure d'une contestation entre Laurent NUGAULT, seigneur de Saint-Aubin, et les religieuses du Paraclet. Jean GALLOIS est laboureur à Saint-Aubin. Il est âgé d'environ 40 ans, donc né vers 1508. Il déclare que son père fut fermier des exploits et amendes de la justice et seigneurie de Saint-Aubin[26].

Jean GALLOIS dit Guilleminot le jeune est le père de:


D.2. Pierre dit Guilleminot, laboureur, ! en 1500-1535

Pierre GALLOIS paye sa contribution au censier du seigneur de La Chapelle-Godefroy et Saint-Aubin entre 1500 et 1533. Il est appelé Pierre GALLOIS dit Guillot en 1502. Il paye en 1507 avec Félisot GALLOIS pour leur censive et en 1528 avec Jean DOURY pour leur terre près le fief des Barres[27].

Dans un témoignage de 1527, Pierre GALLOIS, demeurant à Saint-Aubin, se dit âgé de 50 ans[28]. Il serait donc né vers 1477.

En 1529, Pierre GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, intervient comme commissaire pour l'arpentage de terre à Saint-Aubin[29].

Dans le censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin de 1532, Pierre GALLOIS est associé aux héritiers de feu Jean GALLOIS pour un accin avec 2 maisons, grange et oche à Courclain[30]. Est-ce le même?

Pierre GALLOIS est cité à Saint-Aubin dans plusieurs témoignages établis en 1535[31], [32].

Pierre GALLOIS déclare sa maison entre 1535 et 1537 dans un censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Il fait une déclaration commune avec les héritiers de Félisot GALLOIS et Jean FONTAINE (son gendre) en 1537 et 1538[33].

Pierre GALLOIS semble être la père de:

Dans un témoignage fait en 1542, Jean FONTAINE, manouvrier demeurant à Saint-Aubin, âgé d'environ 40 ans, et natif de Saint-Aubin, cite Pierre GALLOIS son beau-père[34].

Est-ce le même Pierre GALLOIS qui achète en 1544 la septième part d'une maison à sa sœur Jeanne GALLOIS, épouse de Martin BARBIER, laboureur à Crancey[35]? Cette Jeanne pouraît-elle être la Jeanneton GALLOIS, sœur de Félisot, citée dans le censier en 1506 et 1510.


E. Félisot, laboureur, ! en 1506-1536, † 1536/1537

En 1523, Félisot GALLOIS, laboureur demeurant à Courclain, reconnaît aux religieuses du Paraclet une obligation pour les dîmes de Saint-Aubin. Pierre GALLOIS, Jean GALLOIS et Pierre SOMMILLON sont ses cautions[36].

Félisot GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1506 et 1533. Il paye:

coutume à Saint-Aubin avec Jeanneton[37] sa sœur en 1506 et 1510.

avec Pierre GALLOIS en 1507 pour leur censive

en 1521 à La Chapelle pour ses terres et vignes, et un denier pour Colin GALOIS

en 1527 pour sa terre près le fief des Barres[38]. Il faut noter que Pierre GALLOIS paye censive en 1528 avec Jean DOURY pour leur terre près le fief des Barres.

Félisot GALLOIS paye sa contribution au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin en 1535 et 1536. Ses héritiers font une déclaration commune avec Pierre GALLOIS et Jean FONTAINE en 1537 et 1538[39].


F. Guillot ! en 1505-1521

Guillot GALLOIS paye censive au seigneur de La Chapelle-Godefroy en 1505, 1506 et 1507, puis en 1518 et 1521. Jacquin GRILLAT, Claude CHEVRIER et Jean VOITRIN payent censive à Saint-Aubin en 1526 et 1527 pour la vigne Guillot GALLOIS[40].


Fin des GALLOIS dit GuilleminotG. NN.Les deux Jean GALLOIS qui suivent sont sans doute issus de la famille GALLOIS dit Guilleminot.

Jean GALLOIS le moyen intervient en 1491 au censier du seigneur de Saint-Aubin, en particulier à cause de son père pour les héritages qui furent à Félix GRAND (HOMME)[41]. Jean GALLOIS l'aîné paye censive pour les héritages qu'il a acquis des héritiers de Félix GRAND HOMME de 1491 à 1498. Il est sans doute apparenté à Colin GALLOIS (dit Guilleminot) qui paye censive à La Chapelle-Godefroy de 1500 à 1504 pour une pièce de terre qu'il a acquise du GRAND HOMME de Marnay/Seine.

En 1502, Jean GALLOIS le jeune et le moyen (une seule personne !), laboureur à Courclain, prend avec sa femme Simone le bail de 32 arpents de terre[42].

Il est sans doute le Jean GALLOIS, frère de Jean GALLOIS l'aîné cité dans le censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1504 et 1507, et oncle de Jean GALLOIS le jeune, ce qui lui a certainement valu le surnom de "le moyen".


G.1. Jean l'aîné, laboureur à Courclain, ! en 1488-1505, † 1505/1506

Jean GALLOIS l'aîné paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1491 et 1506. Entre 1504 et 1506, il paye avec son frère Jean GALLOIS.

Les héritiers de Jean GALLOIS l'aîné payent censive de 1506 à 1533; à partir de 1527, ils sont nommés: Jeannot GALLOIS et Jean DOURY. En fait, il s'agit des héritiers de Jean GALLOIS dit Guilleminot![43].

Jean GALLOIS l'aîné paye censive en 1500 pour 6 arpents à La Vieille Muette alors que plusieurs membres de la famille GALLOIS dit Guilleminot déclarent des héritages à La Vieille Muette:

Jean GALLOIS dit Guilleminot en 1491 pour 7 arpents; Jean GALLOIS dit Guillot et ses enfants en 1502 pour 2 arpents; Jean GALLOIS dit Guilleminot en 1504 pour 6 arpents; Régnault ROUSSAT en 1504 pour 3 arpents acquis de Jean GALLOIS dit Guilleminot

Philbert LE PIED en 1502 pour 3 arpents acquis de Collin GALLOIS et pour 2 arpents acquis de Jean GALLOIS dit Guillot et ses enfants

Jean GALLOIS l'aîné, laboureur demeurant à Saint-Aubin, est témoin en 1500 dans une procédure opposant les religieuses du Paraclet aux Dames de Nogent/Seine[44], [45]. Il se dit âgé de 80 ans - donc né vers 1420 - et natif de Saint-Aubin. Il déclare avoir été employé vers 1436 par les religieuses pour mener les chevaux et harnais de l'Abbaye du Paraclet[46].

Dans le censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin de 1488, Jean GALLOIS l'aîné et ses enfants déclarent, entre autre, la tierce partie de la maison, grange, accin et pourpris qui fut à leur père[47]. Une indication postérieure indique que ledit GALLOIS et Hébert REUILLON à cause de sa femme sont détenteurs de ces héritages.

Le nom de Jean GALLOIS l'aîné est encore cité dans la déclaration de Simon GILLES au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin de 1488[48].

Jean GALLOIS l'aîné est le père de:

Jean GALLOIS cité fils de Jean GALLOIS l'aîné, laboureur à Courclain, en 1490, lors de la prise d'un bail "aux Carreaux"[49].


G.1.A. Jean le jeune, laboureur, ! en 1491-1507, puis Jean en 1510-1520

Jean GALLOIS le jeune paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1491 et 1507. Après le décès de Jean GALLOIS l'aîné en 1506, il apparaît comme Jean GALLOIS de 1510 à 1520[50].


H. NN.


H.1. Jeannin ou
Jean
l'aîné, † /1535

Il est sans doute le Jean GALLOIS l'aîné cité entre 1511 et 1526 dans le censier du seigneur de Saint-Aubin[51].

Pourrait-ils être le Jean GALLOIS l'aîné dont le nom est cité en 1539[52].


H.1.A. Jeannot, laboureur à Courclain, ! en 1511-1541, ° ca 1489 Courclain

Un Jeannot GALLOIS est cité témoin dans une procédure en 1500[53], mais il s'agit certainement d'une autre personne car Jeannot GALLOIS n'avait alors que onze ans.

Jeannot GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1511 et 1533. Il paye entre autre avec Jean DOURY pour les héritiers de Jean GALLOIS l'aîné entre 1526 et 1528[54]. Il serait donc apparenté aux GALLOIS dit Guilleminot.

En 1521, Jeannot GALLOIS, laboureur à Courclain, et Simon MERLIN, laboureur à Saint-Aubin, font une vente à Pierre MARIN, demeurant au Paraclet[55].

En 1535, Jeannot GALLOIS est cité plusieurs fois témoin dans la procédure d'une contestation au sujet du droit de chasse dans les garennes de Pont[56], [57]. Il déclare alors être âgé d'environ 46 ans, être natif de Courclain et fils de feu Jeannin GALLOIS[58].

Jeannot GALLOIS est encore cité dans une liste des habitants de Saint-Aubin établie en 1541[59].

En 1593, Jean HUGUENIN paye censive tant pour lui que pour les héritiers Jean GALLOIS dit Jeannot[60].


Branche des GALLOIS dit BruyantI. Jean, ! en 1518-1522

Jean GALLOIS paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin et La Chapelle-Godefroy entre 1518 et 1522[61]. En 1520, il paye censive avec Etiennot GALLOIS, Jean LE PIED et Jean BROQUART. Ils sont sans doute tous les quatre proches parents, sans doute frères et beaux-frères, car:

Etiennot GALLOIS et Jean BROQUART payent leur censive ensemble en 1518 à La Chapelle-Godefro y

Jean MIGOURDIN, Jean BROQUART et les héritiers de Jean LE PIED payent en 1532 la censive d'un accin où il y a 2 maisons, grange, oche et jardin à Courclain, appartenant à Jean MIGOURDIN, Jean GALLOIS l'aîné et Claude GALLOIS, héritiers de feu Jean GALLOIS[62].

Jean LE PIED dit GALLOIS vend en 1540 la sixième partie d'une maison à Courclain à Jean BROQUART[63].


I. (?) Jean l'aîné dit Bruyant, laboureur à Courclain, ! en 1524-1528, † en 1529

Jean GALLOIS l'aîné, laboureur à Courclain, est cité à plusieurs reprises en 1527 pour avoir vendu 3 arpents de terre à Thomas DU RU[64], [65], [66], [67]. Il est encore fait mention d'une transaction entre Thomas DU RU et Jean GALLOIS l'aîné, laboureur, en 1530[68].

Jean GALLOIS l'aîné est mort avant 1530 car ses héritiers sont cités dans plusieurs extraits du censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin entre 1530 et 1532. Ils déclarent:

6 quartiers de terre en La Tavelle[69]

un accin où il y a 2 maisons, grange, oche et jardin à Courclain[70]. Ils sont alors nommés: Jean GALLOIS et Jean MIGOURDIN[71] auxquels il faut ajouter Claude GALLOIS, cité en 1532[72].

Jean GALLOIS dit Bruyant paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1527 et 1529. Ensuite, ce sont ses héritiers, puis Jean GALLOIS dit Bruyant le jeune, qui payent sa censive en 1529[73].

Jean GALLOIS dit Bruyant est donc le père de:

Jean GALLOIS, fils de feu Jean GALLOIS dit Bruyant est cité dans une liste des habitants de Saint-Aubin dressée en 1541[74]. Jean GALLOIS dit Bruyant, fils de feu Jean GALLOIS, laboureur à Courclain, comparaît dans une enquête en 1535. Il se déclare âgé de 40 ans environ, natif de Courclain[75].

Jean GALLOIS le jeune, laboureur, fils de feu Jean GALLOIS dit Bruyant, et Jean MIGOURDIN l'aîné, aussi laboureur, demeurant à Courclain, vendent en 1530 à Laurent NUGAULT 2 arpents de terre provenant dudit défunt Jean GALLOIS[76].

Claude est cité héritier de feu Jean GALLOIS avec Jean GALLOIS et Jean MIGOURDIN en 1532. Jean GALLOIS, Claude GALLOIS et Nicolas DAVOST payent censive comme héritiers de Jean GALLOIS entre 1535 et 1538[77]. Claude GALLOIS est encore cité dans une liste des habitants de Saint-Aubin dressée en 1541[78].


I.1. Jean dit Bruyant le jeune, laboureur à Courclain, ! en 1529-1541, † /1559, × à NN., ! en 1559

Il est peut-être:

le Jean GALLOIS le jeune, qui paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1526 et 1533[79].

le Jean GALLOIS (le jeune) qui paye censive à l'Abbaye du Paraclet pour sa maison entre 1535 et 1538[80].

le Jean GALLOIS qui, en 1536, comparaît dans une audition avec les héritiers de Jean FONTAINE et Claude GUENARD[81]

le Jean GALLOIS qui, en 1546 obtient des religieuses du Paraclet, avec Jean TROTIN, le bail des gros dîmes de Saint-Aubin[82].

La veuve de Jean GALLOIS dit Bruyant paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1559. En 1563, ses héritiers, à savoir Jean GALLOIS, Jacques MIGOURDIN et Jean ROUSSAT le jeune payent censive[83].

Jean GALLOIS dit Bruyant est donc vraisemblablement le père de:


I.1.A. Jean dit Bruyant, ! en 1563-1567, † 1567/1568, × à NN., ! en 1568-1569

Jean GALLOIS dit Bruyant, entre 1563 et 1567, puis sa veuve en 1568 et 1569, paye leur contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin[84].

Jean GALLOIS dit Bruyant est cité en 1574 avec ses co-héritiers pour partager en indivis avec les enfants de Philippe HERAULT une pièce de terre où se trouve une chambre basse[85], [86].

Jean GALLOIS dit Bruyant est sans doute le père de Jeanne GALLOIS dit Bruyant, citée au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1575 et 1580. Elle est mineure en 1577, alors que Jacques MIGOURDIN (son oncle) paye alors pour elle[87].


J. Etiennot, ! en 1518-1528

Etiennot (Thiennot) GALLOIS paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1518 et 1528. Il est sans doute issue des GALLOIS dit Bruyant car il est le plus souvent associé à des individus alliés aux GALLOIS dit Bruyant:

avec Jean BROQUART en 1518

avec Jean GALLOIS, Jean LE PIED et Jean BROQUART en 1520[88].


Fin des GALLOIS dit BruyantK. Jean, ! en 1530

Jean GALLOIS apparaît dans plusieurs extraits des censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532. Il déclare une maison près du Pont de Saint-Aubin, partagée avec Jean POPILLARD[89], [90]; cette maison adviendra plus tard à Bon CLEREAU, gendre de Nicolas GALLOIS et Samuel SYMON, gendre de François GALLOIS[91]. Nicolas et François GALLOIS sont les fils de Jean GALLOIS l'aîné.


L. Pierre, laboureur à Courclain, × à Savoise GRAND, ! en 1543-1551

Pierre GALLOIS et Savoise GRAND sa femme, vendent en 1551 une terre qu'ils avaient achetée en 1543[92].


L. (?) Pierre[93], † /1566, × à NN., ! en 1566

Dans les comptes de Nogent/Seine en 1566-1567 sont cités la veuve et les héritiers GALLOIS pour une maison en la pêcherie, puis Jean et Pierre GALLOIS, frères, pour la vente de la moitié d'une cour de maison en la pêcherie à Edmond BUCHET l'aîné, maçon à Nogent/Seine[94].

Jean et Pierre GALLOIS, maçon à Nogent/Seine sont les fils de Pierre GALLOIS qui interviennent avec leur sœur Geneviève GALLOIS en 1577 dans le censier de Saint-Aubin[95], [96]. Ils sont sans doute issus de la famille GALLOIS de Saint-Aubin, car ils y possèdent une oche appelée "l'oche Collin Gallois".


L ou M. (?) Pierre, probablement à Courclain, † /1575

Dans une déclaration commune au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin en 1575-1576, Jean HUGUENIN le jeune et Barbe LE MIRE, veuve de Laurent HERAULT déclare une masure à Courclain appartenant aux héritiers de Pierre GALLOIS[97], [98].

Jean HUGUENIN le jeune est l'époux de Jeanne GALLOIS. Barbe LE MIRE est la mère de Philippe HERAULT dont les enfants mineurs déclarent en 1574 une pièce de terre où se trouve une chambre basse, partagée en indivis avec Jean GALLOIS dit Bruyant.

Ces propriétés seront plus tard reprises par la femme de Claude COLLET le jeune, les héritiers de Guillaume GILLES et Edmé CAULAY. Edmé CAULAY à cause de sa femme, Denis GILLES et les héritiers de Pierre GILLES, Claude COLLET à cause de sa femme sont également cités pour avoir repris un accin avec 2 maisons, grange et oche à Courclain déclarées au censier de Saint-Aubin de 1532 par les héritiers de feu Jean GALLOIS, puis par Pierre GALLOIS.


M. Pierre, ! en 1561-1570, † 1570/1571, × à NN., ! en 1571

Pierre GALLOIS paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1561 et 1570, sa veuve en 1571, ses héritiers en 1575, son fils Jean entre 1572 et 1584[99].


M. (?) Pierre
M.1. Jean dit Jaunat (?), parrain à La Chapelle-Godefroy le 25.3.1584, (†) 21.12.1587 La Chapelle-Godefroy, sans testament, × 24.6.1581 La Chapelle-Godefroy à Marguerite MATIGNON, fille de Jean M., † /1581


N. Guillaume, ! en 1533

Guillaume GALLOIS paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1533[100].


O. Jean dit des buissons, ! en 1568-1571

Jean GALLOIS dit des buissons paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1568 et 1571. En 1568, il est héritier pour un tiers de Sébastien CHAPELOT. Pierre GALLOIS, sans doute son fils, paye pour lui en 1577[101].

Pierre GALLOIS dit des buissons paye sa censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1577 et 1581, puis sa veuve paye en 1585[102].

Jean GALLOIS dit des buissons est le père de:


P. Jean, Maître, prêtre, ! en 1560,, probablement Messire, ! en 1572-1578

Maître Jean GALLOIS, prêtre à Saint-Aubin, prend le bail de 24 arpents de terre des religieuses du Paraclet[103].

Il est sans doute le Messire Jean GALLOIS, qui paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1572 et 1578[104].


Q. Jean le jeune, ! en 1563-1582, × à NN., d'où enfants

Jean GALLOIS le jeune fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1574 pour une terre vendue à feu Jean GALLOIS, lieutenant[105], et pour plusieurs articles dont une part de maison rue de Courmont[106].

Jean GALLOIS le jeune paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1563 et 1582. Il paye pour la veuve Michel DESMOGNES en 1563-1565; il paye à cause de ses enfants en 1581-1582[107].


R. Amen, ! en 1564-1585, × à Anne ROMILLY, ! en 1571, probablement fille de Jean R.

Amen GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin de 1564 à 1585. Il paye entre autre pour les héritiers de Jean ROMILLY (son beau-père)[108].

Dans une sentence rendue en 1571, Anne ROMILLY, femme d'Amen GALLOYS, est dite prisonnière[109].

Anne est sans doute la fille de Jean ROMILLY car Amen GALLOIS et Anne ROMILLY sont cités plusieurs fois pour partager une maison ayant appartenue à Jean ROMILLY[110], [111].

En 1582, Amen GALLOIS déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin une maison rue aux Rasles[112], [113], .

En 1623, lors de la révision du censier de l'Abbaye, cette maison est la propriété de (Marguerite) la veuve de Guillaume BERTAUD et de Michel GALLOIS[114]. Isaac GALLOIS et son fils Michel GALLOIS sont aussi cités pour avoir repris une maison déclarée en 1532 par Jean ROMILLY le jeune[115].

Amen GALLOIS est également cité en 1582 avec Anne fille de Jean VALLÉE, dans la déclaration de François BENOIST[116].

Amen GALLOIS est le père de:


R.1. François le jeune, ! en 1593-1599

François GALLOIS le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1593. En 1593, il paye pour Marin RICOURT, pour Barbe DUPUYS. Ambroise BARBOTIN paye pour 3 quartiers de vigne acquis de Francois GALLOIS le jeune en 1593. Jean DIRESME paye pour un acquêt qu'il a fait de François GALLOIS le jeune en 1599. François GALLOIS paye en 1595 pour un demi arpent de terre assis des vignes des Garennes.

En 1605, Claude GRAND paye censive au seigneur de Saint-Aubin pour sa maison acquise de François GALLOIS le jeune et Jean SOMILLON (c'est sans doute la maison de Jean ROMILLY)[117].

Il est sans doute le François AMANT pour lequel Jean SOMILLON (qui partage la maison de Jean ROMILLY avec Amen GALLOIS) paye censive en 1597[118].


R.1. (?) François, × 28.2.1588 à Julie PETIT, fille de Jean P., † /1588


S. Isaac l'aîné, signe: Ysaac Gallois avec paraphe, ! en 1559-1577, † & (†) 14.5.1582, × à Lupienne

Isaac GALLOIS apparaît pour la première fois en 1559 alors qu'il prend de Laurent NUGAULT le bail de 17 arpents de terre[119].

Isaac GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1581; sa veuve paye entre 1582 et 1585[120].

En 1560, une procédure est intentée contre Isaac GALLOIS[121].

En 1573, Isaac GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, prend avec Jean VALLÉE, laboureur à La Chapelle-Godefroy, le bail de 4 arpents de pré à Marnay. Il signe "Ysaac Gallois"[122].

En 1575, Isaac GALLOIS prend avec d'autres, dont François et Nicolas GALLOIS, le bail de 138 arpents de terre des religieuses du Paraclet. Il signe "Ysaac Gallois" avec paraphe[123].

Isaac GALLOIS est encore cité dans une enquête à Saint-Aubin en 1577[124].

Isaac GALLOIS fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1570 et 1580[125].

Isaac GALLOIS est le père de:

Jean fils d'Isaac GALLOIS est parrain à Saint-Aubin le 1.3.1574 d'Aubine fille de Guillaume BENOIST et le 12.6.1581 de Marion fille de Jean LALLEMENT.

Isaac GALLOIS le jeune est cité fils d'Isaac GALLOIS l'aîné lors de son inhumation en 1582.

Jean et Isaac GALLOIS sont témoins dans une procédure en 1606[126].

Les descendants d'Isaac, de Jean l'aîné et d'Amen GALLOIS semblent entretenir des liens étroits, ces derniers pourraient être frères.


S.1. (?) Jean (CALLOYS), † /1607, × à Anne
S.1. (?) Jean
S.2. Isaac le jeune, laboureur, sergent, ! en 1593-1623, × à Anne, † 22.1.1582, (†) le 23

Sans doute vers 1623, Isaac GALLOIS est cité avec Martin BENOIST et Anne MEROSSE pour avoir repris un héritage déclaré en 1532 par Messire Guillaume BOURJONNE[127], [128].

Isaac GALLOIS paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1593. Isaac GALLOIS paye pour Edmée BRIGEON entre 1600 et 1603 alors que la censive d'Edmée BRIGEON était payée en 1585 par Nicolas PILLAVOINE et en 1596-1598 par son fils Pierre PILLAVOINE (sans doute beau-père et beau-frère d'Isaac GALLOIS)[129].

Isaac GALLOIS paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1612 et 1623[130].

En 1617, Isaac GALLOIS, sergent, comparaît avec François GALLOIS l'aîné comme proche parent ou allié de Pierre GILLES[131].

En 1593, Isaac GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, et Edmée PILLAVOINE, sa femme, séparée de biens, font une vente à Guillaume MIGOURDIN[132].

×(2) à Edmée PILLAVOINE, ! en 1593-1607

Christophe fils d'Isaac GALLOIS est parrain le 18.12.1608 de Jean fils de Michel GALLOIS

La filiation de Jean à Isaac GALLOIS est indiquée le 13.12.1629 sur l'acte de baptême de son fils Jean. Jean GALLOIS fils d'Isaac est cité en 1626 alors qu'il est accusé d'avoir chassé dans les garennes de Saint-Aubin[133].


S.2.A. Jean l'aîné, manouvrier, laboureur, ! en 1631-1642, × à Fallette VOITERIN

En 1631, Jean GALLOIS fils d'Isaac, manouvrier, achète une maison à Saint-Aubin[134].

En 1636, Jean GALLOIS fils d'Isaac, laboureur, prend en bail plus de 4 arpents de terre à Saint-Aubin[135].

Jean GALLOIS l'aîné contribue au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1642 pour une maison[136].

Fallette VOITERIN, Marguerite VOITERIN, × /1624 à Louis (Jean ?) DANTIGNY, Jean VOITERIN et Julien VOITERIN, × /1625 à Perrette FARIE semblent être frères et sœurs car les trois premiers reconnaissent ensemble une vigne en 1658[137] avec Jean REGNARD, qui est d'autre part cité auparavant pour avoir repris les terres de Julien VOITERIN[138].

En 1657, Fallette VOITERIN déclare 3 arpents, 72 cordes et demie de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[139].

Jean GALLOIS et Fallette VOITRIN sont les parents de:


S.2.B. Michel l'aîné, laboureur, ! en 1611-1636, (†) 8.5.1642, n'a point fait de testament, ayant été malade, × à Anne

Michel GALLOIS paye censive en 1611 au seigneur de Saint-Aubin[140]. Il paye entre 1621 et 1623 pour sa maison[141] .

En 1611, Michel GALLOIS déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin 1 arpent et 50 cordes de terre[142].

Michel GALLOIS était sans doute aussi bûcheron car il intervient entre 1615 et 1636 pour des coupes de bois.

En 1615, les religieuses du Paraclet poursuivent Michel GALLOIS pour un délit dans leur bois du Tillet. Elles assignent plusieurs habitants de Quincey qui témoignent avoir entendu dire par Michel GALLOIS, demeurant à Saint-Aubin, qu'il avait vendu 10 pièces de chêne et qu'il s'en trouverait encore 15 à 18 dans le bois[143].

En 1630, Maître Michel GALLOIS, greffier en la justice de Saint-Aubin, intervient dans une enquête. Il signe "M Galloys" avec paraphe[144].

En 1630, Michel GALLOIS déclare avoir reçu la coupe d'un bois appelé "le buisson de la Muette"[145].

En 1631, Michel GALLOIS l'aîné, laboureur demeurant à Saint-Aubin, achète 5 quartiers 6 cordes de terre à Saint-Aubin à Jean AUBERT[146].

En 1636, Michel GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin intervient avec Jean GALLOIS et Etienne BABELIN (son gendre), manouvriers à Saint-Aubin. Ils promettent de payer aux religieuses du Paraclet 171 livres tournois pour l'admodiation de la coupe, vente et dépouille de 12 arpents 1 quartier moins 2 cordes au Bois Taillis[147].

En 1643, les religieuses du Paraclet baillent une maison rue Pescheloche à l'expiration du bail de la veuve et héritiers Michel GALLOIS[148].

Michel GALLOIS est sans doute le fils d'Isaac GALLOIS car il entretient de nombreux lien de parrainage avec les enfants d'Isaac GALLOIS:

Edmée, épouse d'Isaac GALLOIS est marraine de son fils Ambroise

Christophe, fils de Isaac GALLOIS est parrain de son fils Jean

Pierre PILLAVOINE, beau-frère d'Isaac GALLOIS, est parrain de son fils Edmé

Denise, sa fille, est marraine d'un fils de Jean fils d'Isaac GALLOIS

Michel est dit fils d'Isaac GALLOIS dans la reprise du censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin en 1623 et 1643[149].

Michel GALLOIS est aussi un proche de la famille BARBOTIN puisque parmi les parrains et marraines de ses enfants, on trouve:

Ambroise BARBOTIN

Jean NOTIN, qui épousera Nicole fille d'Ambroise BARBOTIN

Etiennette fille d'Ambroise BARBOTIN, aussi appelée Etiennette GALLOIS

Michel GALLOIS et Anne sont les parents de:


S.2.B.1. Jean, ne sait pas signer, vigneron, meunier à La Chapelle-Godefroy, ! en 1634-1659, parrain à La Chapelle-Godefroy les 8.11.1633, 6.3.1634, 16.11.1634, 20.12.1646, 27.8.1650, 28.4.1655, 30.5.1656 et 17.3.1658, × 7.3.1633 La Chapelle-Godefroy à Claude CLEMENT, ne sait pas signer, marraine à La Chapelle-Godefroy le 25.3.1634, ! en 1650, † 5.11.1661 La Chapelle-Godefroy, (†) le 6, fille de Nicolas C. et Marie THOMAS

En 1634, Nicolas CLEMENT et Jean GALLOIS fils de Michel, meunier et vigneron à La Chapelle-Godefroy, passent accord sur les dîmes de La Chapelle-Godefroy. Jean GALLOIS ne sait pas signer[150].

En 1650, Jean GALLOIS, vigneron à la Chapelle-Godefroy, et Claude CLEMENT, sa femme, vendent au seigneur de la Chapelle-Godefroy, 6 parts sur 8 d'une maison de 3 chas couverte de paille, rue aux charrons à Saint-Aubin[151].

En 1657, Jean GALLOIS, Robert JACQUES, Jean REGNARD, Claude LE PAGE, vignerons à La-Chapelle-Godefroy, prennent un bail de la seigneurie de Saint-Aubin et La-Chapelle-Godefroy[152].

En 1659, Jean GALLOIS, Germain LANGOT, et Jean LANGOT, vignerons à La-Chapelle-Godefroy, passent un marché pour le fauchage de prés[153].

Jean GALLOIS et Claude CLEMENT sont les parents de:

×(2) 19.11.1663 La Chapelle-Godefroy[155] à Marguerite FRANCOISE, ne sait pas signer, marraine à La Chapelle-Godefroy les 2.2.1655, 24.5.1663 et 7.7.1667, ×(1) à Jean POTHIER


S.2.B.1.A. Jean, signe: Jean Gallois, maître boulanger et meunier au moulin de Saillard, de Nogent/Seine, † /1716

En 1658, Jean GALLOIS, maître boulanger à Nogent/Seine, achète un four bâti dans une maison à Nogent/Seine, plus des biens mobiliers et des outils[156].

En 1659, Jean GALLOIS, Maître boulanger à Nogent/Seine, prend un apprenti par contrat notarié. Il signe "Iean Galois"[157].

En 1662, Jean GALLOIS, maître boulanger à Nogent/Seine, passe un accord avec Jean CHOUART, conseiller et élu en l'élection de Nogent/Seine, à propos d'une maison; mention de la femme d'Eustache MARCILLY, belle-mère dudit GALLOIS. Il signe "Iean Gallois"[158].

En 1672, Jean GALLOIS, meunier au moulin de Saillard, Françoise GALINE, veuve d'Eustache MARCILLY, maître boulanger à Nogent/Seine, et Ysaac MARCILLY, compagnon boulanger à Nogent/Seine, vendent le sixième d'une chambre basse et cave dependant d'une maison assise en la Grande Rue Saint-Laurent. L'acte est signé "Iean Gallois", "Isaac Marcilly", "Cathairene Marcili"[159].

En 1678, Jean GALLOIS, meunier à La Chapelle-Godefroy, prend le bail d'un moulin à eau sur la rivière d'Arduisson dans le village de Saint-Aubin[160].

En 1681, Jean GALLOIS, meunier, prend le bail du moulin du Paraclet[161].

En 1716, les héritiers de Jean GALLOIS interviennent comme fermiers des moulins banaux de Nogent/Seine. Ils sont:

Jean GALLOIS, meunier du moulin de Gumery

Claude GALLOIS, maître boulanger à Nogent/Seine

Etienne MOINAT, marchand maître pêcheur à Nogent/Seine, époux de Marie GALLOIS

Martin CAQUERANT, compagnon de poterne à Nogent/Seine, époux de Marguerite BALIGAUX, héritier pour un tiers de feue Catherine GALLOIS, sa mère, remariée à Edmé VOISIN, meunier à Ferreux et tuteur des enfants mineurs de Catherine GALLOIS et Edmé VOISIN, chacun pour un tiers

Marguerite GALLOIS, épouse de Jacques LEPAGE[162].

× en 1656[163] à Catherine MARCILLY, signe: Cathairene Marcili, ° ca 1646, † 8.3.1681, (†) le 9, fille d'Eustache M., boulanger, † 27.12.1664 Nogent/Seine, (†) le 28, × 23.11.1637 Nogent/Seine à Françoise GALINE, ° ca 1611, † 4.3.1674 Nogent/Seine, (†) le 5

×(2) 16.6.1681 à Jeanne AUBERT, de Marnay, fille de Barnabé A., † /1681, et Barbe DE LAUNOY


S.2.B.1.B. Michel, vigneron à La Chapelle-Godefroy, ! en 1695-1696

En 1695, Michel GALLOIS, vigneron à La Chapelle-Godefroy, prend de Jean JACOPIN et Simon MAROT le bail d'une chambre à feu à La Chapelle-Godefroy[166].

En 1696, Michel GALLOIS, vigneron à La Chapelle-Godefroy, rétrocède à Simon MAROT le bail fait par feu Jean JACOPIN et ledit MAROT d'une maison à La Chapelle-Godefroy[167].

En 1696, Michel GALLOIS et Martin BENOIST, vignerons à La Chapelle-Godefroy, prennent une rente foncière de la fabrique de La Chapelle-Godefroy[168].


T. Jean l'aîné, lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin, laboureur, ! en 1559-1566, † /1573, × à NN., ! en 1583

Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, prend en 1550, 1551 et 1562 le bail de 4 arpents de pré à Marnay/Seine. C'est certainement lui, Honorable Homme Jean GALLOIS, lieutenant, qui renouvelle ce bail en 1559[169].

Jean GALLOIS, lieutenant, apparaît dans le censier du seigneur de Saint-Aubin en 1559 et 1562, sans doute comme collecteur, pour la partie de M.r DE BRYET en 1559, et pour la 8ème partie de Saint-Aubin en 1562. Il paye censive entre 1563 et 1571[170]. Il est associé à la veuve de Noël SIMON.

Jean GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1559 et 1566[171]. Il est associé à Georges et Claude COLLAS (frères), à la veuve de Jean SIMON. Pourrait-il être le Jean GALLOIS l'aîné dont la veuve paye encore censive en 1583.

En 1559, Jean GALLOIS prend 20 arpents de terre en bail du seigneur de Saint-Aubn[172].

Jean GALLOIS l'aîné est mort avant 1574, date à laquelle Nicolas MAISTRE, gendre de Marguerite GALLOIS, se déclare son héritier pour le cinquième d'une maison, grange et étable[173]. La même année, Jean GALLOIS le jeune déclare la vente d'une terre faite à feu Jean GALLOIS, lieutenant[174].

Jean GALLOIS est sans doute un descendant de Jean GALLOIS qui en 1530 payait censive pour une maison près du Pont de Saint-Aubin, avec Jean POPILLARD. Plus tard, cette maison sera à Bon CLEREAU et Samuel SIMON. Cette maison sera rachetée en 1617 par Jean GALLOIS, lieutenant à son oncle François GALLOIS. Tous quatre sont descendants de Jean GALLOIS l'aîné.

Jean GALLOIS l'aîné est le père de:


T.1. Nicolas, signe: N Galloys avec paraphe, lieutenant en 1566-1593, † 1593/1595, × à Marguerite, ! en 1595

Pourraît-il être le Nicolas GALLOIS, laboureur, cité en 1560[176]?

Nicolas GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier de Saint-Aubin entre 1566 et 1584[177]. Il est associé à Claude COLLAS (comme l'était son père). Il paye la part de feu son père en 1573.

En 1575, Nicolas GALLOIS prend des religieuses du Paraclet le bail d'une terre à Saint-Aubin, partagée avec plusieurs particuliers de Saint-Aubin, dont Isaac GALLOIS et François GALLOIS[178]. En 1594, dans ce qui semble être la reprise de ce bail comparait Jean GALLOIS fils de Nicolas, Guillaume DESQUAINS, avec d'autres dont François GALLOIS l'aîné[179].

En 1582, un contrat de vente entre 2 particuliers de Saint-Aubin est établi dans la maison de Nicolas GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin. Il signe "N Galloys" avec paraphe[180].

Nicolas GALLOIS, lieutenant, paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1593. Sa veuve paye censive en 1595 et ses héritiers en 1598. Jean GALLOIS paye pour les héritiers Nicolas GALLOIS en 1599[181].

En 1608, Francois GALLOIS, Guillaume DESQUAINS (époux de Marguerite GALLOIS), Jean GALLOIS, laboureurs à Saint-Aubin, vendent à Simon PARASTRE, des terres à Marnay qu'ils possèdent en indivis avec Christophe VERNIER, laboureur à Fontaine-Macon, époux de feue Marguerite GALLOIS. François, Jean et les deux Marguerite sont sans doute frères et sœurs, fils de fille de Nicolas GALLOIS[182].

Dans une déclaration établie en 1606[183], Guillaume DESQUAINS (époux de Marguerite GALLOIS) se dit héritier de Nicolas GALLOIS. En 1610[184], il est encore cité co-héritier de Nicolas GALLOIS avec Jean GALLOIS. Il partage alors également des terre avec Laurent MASSEY et Jeanne DESPENCIER.

Nicolas GALLOIS et Marguerite sont les parents de:


T.1.A. Jean, Maître, Honorable Homme, ! en 1601, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, ! en 1602-1628, laboureur en 1611-1631, (†) 11.4.1630, × /1606 à Marguerite GENNERAT, ne sait pas signer, ! en 1634-1638, † 14.5.1645, (†) en l'église, devant l'autel St Sébastien

En 1600, Honorable Homme Jean GALLOIS, lieutenant en la justice de Saint-Aubin se porte caution du curé de Saint-Aubin lors de l'admodiation des gros dîmes de blé de Saint-Aubin[185].

En 1601, Honorable Homme Jean GALLOIS, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, fait une déclaration au censier de Saint-Aubin. Il signe "J Galloys" avec paraphe. Il déclare entre autre:

la moitié d'une maison avec Guillaume DESQUAINS (son beau-frère)

le quart d'une masure partagée avec Guillaume DESQUAINS à cause de sa femme (Marguerite GALLOIS) et les enfants de Christophe VERNIER (époux de Marguerite GALLOIS).

le quart d'une masure près de l'église partagée avec François GALLOIS l'aîné (son oncle), Guillaume DESQUAINS (son beau-frère) et Laurent MASSÉ (gendre de Marguerite GALLOIS)[186].

En 1602, Jean GALLOIS, lieutenant, fait une autre déclaration au censier de Saint-Aubin[187], [188].

En 1611, Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, prend des religieuses du Paraclet le bail de 180 arpents de terre "aux Mergers" dont il a jouit 27 ans auparavant - en fait, il s'agit du bail du 26.9.1594 - [189].

Jean GALLOIS, lieutenant, paye censive à Saint-Aubin entre 1612 et 1623. En 1614, il paye pour un acquis de François GALLOIS l'aîné (son oncle)[190].

En 1614, Jean GALLOIS conclut avec Jérôme GARNIER un accord de partage. Ils sont tous les deux fermiers et admodiateurs de l'Abbaye du Paraclet[191].

En 1616, Jean GALLOIS, lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin, achète un arpent de terre à Jean GRANDJON[1 92].

En 1617, Honorable Homme Jean GALLOIS, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, prend un bail de Jean LE JEUNE, sergent à Nogent/Seine[193]. Jean LE JEUNE[194] à épousé le 8.5.1616 Elisabeth, fille d'Antoine GALLOIS.

En 1617, Honorable Homme Maître Jean GALLOIS, lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin, achète une maison près du Pont de Saint-Aubin à son oncle François GALLOIS l'aîné, laboureur à Saint-Aubin[195].

En 1624, Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin est cité pour avoir obtenu le bail de la moitié de 100 arpents de terre, l'autre moitié étant baillée par François GALLOIS l'aîné, aussi laboureur à Saint-Aubin (son cousin germain)[196].

En 1625, Jean GALLOIS, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, établit une déclaration pour la découverte du corps d'une petite fille[197].

En 1628, Maître Jean GALLOIS, lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin, rachète une rente de 22 livres dus par les héritiers de feu François GALLOIS, vivant laboureur à Saint-Aubin (son oncle)[198]. Il signe "J Galloys" avec paraphe.

En 1634 et 1636, Marguerite GENNERAT, veuve de Maître Jean GALLOIS, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, obtient de Sébastien FONTAINE le bail de 5 arpents de terre[199], [200].

Dans un arpentage de vignes que les religieuses du Paraclet ont à Pothière en 1638 est citée la veuve de Jean GALLOIS lieutenant, dont la vigne est reprise par Pierre GALLOIS (son fils)[201].

Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, est le père de François GALLOIS, qui est poursuivi en 1631 par les religieuses du Paraclet pour une contestation sur les dîmes de Saint-Aubin[202]. Cette contestation fait sans doute suite au bail des dîmes de Saint-Aubin fait en 1630 par les religieuses à François GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin[203]. En 1632, les religieuses du Paraclet baillent de nouveau les dîmes de Saint-Aubin à François GALLOIS le jeune, laboureur à Saint-Aubin, fils de feu Maître Jean GALLOIS, vivant lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin[204].

François GALLOIS le jeune et son frère Nicolas GALLOIS, tous deux laboureurs à Saint-Aubin font ensemble une vente en 1635[205].

Jean GALLOIS et Marguerite GENNERAT sont les parents de:


T.1.A.1. (?) Pierre, signe: Pierre Gallois avec paraphe, laboureur, ° ca 1620, (†) 15.12.1680, × 9.11.1639 Avant-lès-Marcilly à Barbe RIVIERE ou CHARRON, ° ca 1625 Avant-lès-Marcilly, † 7.2.1670, (†) le 8, fille de Jean R.

En 1668, Pierre GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, prend le bail de 9 arpents 15 cordes de terre labourable à Saint-Aubin. Il signe: Pierre Gallois avec paraphe[206].

Pierre GALLOIS et Barbe RIVIERE sont les parents de:


T.1.A.1.A. Jean l'aîné, signe: J Gallois avec paraphe, laboureur, ! en 1678-1682, (†) 23.4.1683, × 22.2.1672 à Marie SIMON, ° ca 1640, fille de Jean S., † /1672, et Angélique MAISTRE, ×(2) 14.2.1684 à Hubert LARNUET, fils de Jean L., laboureur, et Marguerite LE ROY, † /1684

En 1678, Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, vend une rente de 14 livres et 3 sols sur une maison appartenant à la veuve de François DANGLURE et audit GALLOIS. Il signe "J Gallois" avec paraphe[207].

En 1678, Jean GALLOIS, Jean POSTEAU et Etienne VAILLANT, laboureurs à Saint-Aubin, retiennent solidairement de l'Abbaye du Paraclet, le bail de 120 arpents de terre labourable au lieudit "Les Terres du Petit Couvent". Ilne savent pas signer[208], [209].

En 1682, Jean GALLOIS l'aîné, laboureur à Saint-Aubin, vend des grains à un boulanger de Nogent/Seine. Il signe "J Gallois" avec paraphe[210].

Jean GALLOIS l'aîné et Marie SIMON sont les parents de:


T.1.A.2. François le jeune puis l'aîné, signe: F Gallois, laboureur, hôtelier, ! en 1633-1663, (†) 11.10.1665 dans l'église, × /1624 à Denise LE ROUX, ne sait pas signer, (†) 4.11.1661 "en l'église, devant l'autel St Sebastien, du coté de l'évangile", peut-être fille de Nicolas L.[213] et Anne

En 1633, le nom de François GALLOiS le jeune, de Saint-Aubin, est cité pour avoir tenu 60 arpents de terre à Saint-Aubin et 5 quartiers de pré à Marnay/Seine[214].

En 1648, la maison de François GALLOIS est perquisitionnée. Il est absent et sa femme répond pour lui. On a trouvé chez lui, sous une petite écurie, une charrette avec 2 ridelles de bois de chêne qui est toute neuve, longue de 15 à 16 pieds, et 2 gros limons de chêne de 16 à 17 pieds de long, cachés de foin[215].

En 1649, François GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, prend le bail de 200 arpents de terre dans les garennes. Il signe "F Galloys" avec paraphe[216].

En 1656, Pierre, Jean et François GALLOIS sont cités parmi les habitants de Saint-Aubin pour un payement à la veuve de Jean SIMON[217].

En 1657, François GALLOIS, laboureur, déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin 16 arpents, 83 cordes de terre, puis 12 cordes et demie de terre[218].

En 1663, François et Pierre GALLOIS, laboureurs à Saint-Aubin, prennent le bail de 150 arpents de terre[219].

En 1666, les héritiers de feu François GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, vendent 31 cordes de pré. Ils sont:

Jean GALLOIS, cabaretier à Marnay/Seine, époux de Anne GERARD,

Edmé GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, époux d'Anne BAILLET

Jean GUILLEMARD, laboureur à Saint-Aubin, époux de Catherine GALLOIS

Paquet GRILLAT, époux d'Anne GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin

Nicolas DORÉ, laboureur au Pavillon, époux de Marguerite GALLOIS[220].

François GALLOIS et Denise LE ROUX sont les parents de:

×(2) 2.12.1662 à Jeanne LE BRUN, ° ca 1612, (†) 8.1.1672


T.1.A.2.A. Jean, signe: Jehan Gallois avec paraphe, cabaretier, hôtelier à Marnay/Seine, ! en 1653-1661, (†) 19.4.1666 Marnay/Seine, × à Anne GERARD, signe: Anne Gérard, ! en 1667, † 26.8.1681 Marnay/Seine, (†) le 22[221]

En 1653, Jean GALLOIS représente les habitants de Marnay/Seine pour une vente de prés[222].

En 1654 et 1667, Jean GALLOIS et Anne GERARD font deux ventes à Jacques PARASTRE[223].

En 1656, Jean GALLOIS, laboureur à Marnay/Seine, vend dix à onze mille bottes de foin. Il signe "Jehan Galloys" avec paraphe[224].

En 1661, Jean GALLOIS et Anne GERARD sa femme, prennent avec un autre couple le bail des droits du vin qui se vendra à Marnay/Seine contre 504 livres. Il signe "Jehan Gallois" avec paraphe[225].

En 1667, Anne GERARD, veuve de Jean GALLOIS, cabaretier à Marnay/Seine, passe contrat pour une vente de 6 quartiers de pré à Marnay/Seine faite en 1664 par le feu GALLOIS à Jean GERARD. En 1667, Anne GERARD, veuve de Jean GALLOIS, hôtelier à Marnay/Seine, vend 3 à 4000 bottes de foin à Jean GERARD. Elle signe "Anne Gérard"[226].

En 1683, Claude SALIS, Edmé LENOIR, Marie GALLOIS veuve de Jean VILLAIN, Claude GALLOIS, Marthe GALLOIS demeurant à Marnay/Seine, héritiers de feu Jean GALLOIS et Anne GERARD, leur père et mère et Edmé COLLETAT, laboureur à La Villeneuve au Chastelot, sont poursuivis pour leurs dettes sur la succession de Sulpice LECLERC[227].

Jean GALLOIS et Anne GERARD sont les parents de:


T.1.A.2.B. Edmé, signe: Edmé Gallois avec paraphe, laboureur, ° ca 1640, (†) 1.2.1680, × 7.2.1661 à Anne BAILLET, ° ca 1643, (†) 21.4.1683, fille de Jacques B., arpenteur juré


T.1.A.3. (?) Nicolas le jeune, probablement ! en 1638-1642, × à Anne DUREAU, (†) 1634/1635, peut-être fille de Guillaume D.[233]

En 1638, Nicolas GALLOIS déclare une vigne au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Cette vigne est plus tard à Jean GALLOIS[234].


T.2. (?) François l'aîné, signe: Francoys Gallois avec paraphe, laboureur, marguiller en 1574, ! en 1573-1617, † /1624, × /1571 à Catherine DESPENCIER

François GALLOIS paye régulièrement sa contribution au censier de Saint-Aubin entre 1573 et 1585. En 1581, il apparait, sans doute comme collecteur, pour la partie de M.r DE BRYET (comme son père en 1559). Il paye pour son frère le curé de Fontaine-Mâcon entre 1583 et 1585, pour sa mère entre 1584 et 1585[235].

En 1574, François GALLOIS, marguillier, déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin les biens de l'église de Saint-Aubin[236].

En 1575, François GALLOIS prend des religieuses du Paraclet le bail d'une terre à Saint-Aubin, partagée avec plusieurs particuliers de Saint-Aubin, dont Isaac GALLOIS et Nicolas GALLOIS[237]. En 1594, dans ce qui semble être la reprise de ce bail comparaissent François GALLOIS l'aîné, Jean GALLOIS fils de Nicolas, Guillaume DESQUAINS, avec d'autres[238].

Vers 1581, François GALLOIS déclare 2 maisons au censier de Saint-Aubin, reprises en 1673 par la veuve de François BARDY[239].

En 1591, François GALLOIS l'aîné comparaît comme témoin pour Saint-Aubin dans le rôle et état de la formation des eaux-et-forêts de Nogent/Seine[240].

François GALLOIS l'aîné paye censive à Saint-Aubin de 1593 à 1595. Il paye pour le maître mesureur et pour Jean GILLES[241].

En 1604, François GALLOIS, l'aîné, laboureur, vend un demi arpent de pré à Guillaume GILLES[242].

En 1607, François GALLOIS est cité dans une consultation pour les dîmes de Saint-Aubin[243].

En 1609, François GALLOIS et Nicolas SENESTRE prennent un bail à Marnay[244].

François GALLOIS l'aîné paye censive à Saint-Aubin entre 1612 et 1613[245], [246].

En 1617, François GALLOIS l'aîné comparaît avec Isaac GALLOIS comme proche parent ou allié de Pierre GILLES[247].

François GALLOIS l'aîné et Catherine DESPENCIER sont les parents de Jeanne, épouse de Samuel SIMON; ce dernier est cité leur gendre en 1617 lors de la vente par François GALLOIS l'aîné à son neveu Jean GALLOIS[248]. Cette vente fera l'objet d'une poursuite entre les religieuses du Paraclet et les seigneurs de Saint-Aubin à propos des droits de lods et ventes[249], [250].

En 1628, Maître Jean GALLOIS, lieutenant en la Mairie de Saint-Aubin, rachète une rente de 22 livres dus par les héritiers de feu François GALLOIS, vivant laboureur à Saint-Aubin (son oncle)[251].

François GALLOIS l'aîné et Catherine DESPENSIER sont les parents de:


T.2.A. (?) Nicolas l'aîné, laboureur, ! en 1625-1643, (†) 9.12.1652, × /1612 à Catherine COLLEY/COLET, † & (†) 27.3.1652, peut-être fille de Claude C.

Nicolas GALLOIS paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1614 et 1623. Il paye pour la terre à faire chénevière qui fut à Huguet ROMILLY[252].

Nicolas GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, et Catherine COLLET sa femme, vendent en 1625 au seigneur de Saint-Aubin une rente de 12 livres et 10 sols[253].

Dans un arpentage des vignes de l'Abbaye du Paraclet en 1638, Nicolas GALLOIS l'aîné est cité ensemble avec:

Guyon COLLET (fils de Claude COLLET le jeune)

Lié DUCHAT (sans doute fils de Catherine COLLET, fille de Claude COLLET)

Denis VOITERIN (gendre de Marguerite COLLET)

Léonard BRUN (peut-être aussi gendre de Marguerite COLLET)[254].

En 1642, Nicolas GALLOIS fait une déclaration au censier du Seigneur de Saint-Aubin, seul et comme fermier de Jean MOREAU[255].

Nicolas GALLOIS l'aîné est témoin dans une procédure des eaux-et-forêts de Nogent/Seine en 1643[256].

Nicolas GALLOIS l'aîné, laboureur, et Catherine COLLET sont les parents de Jean GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, Catherine GALLOIS, à Saint-Aubin et Michelle GALLOIS, veuve de Jean CHARONNAT, laboureur à Villiers aux Choux. Les trois enfants comparaissent en 1654 pour la succession de leur père[257].

Nicolas GALLOIS et Catherine COLLET sont les parents de:

En 1654, Michelle GALLOIS, veuve de Jean CHARONNAT, laboureur à Villiers-aux-Choux, fait une vente[258].


T.2.A.1. Jean, signe: J Galois avec paraphe, laboureur, ! en 1632-1644, × 16.7.1645 à Jeanne CAILLET, (†) 31.12.1646 en l'église, proche les fonds, fille de Claude C. et Sirette BENARD

Jean GALLOIS est cité dans un arpentage des vignes de l'Abbaye du Paraclet en 1638[259].

Jean GALLOIS, de Saint-Aubin, est cité dans le censier de Quincey en 1648, Jean CAILLÉ paye pour lui entre 1649 et 1651, sa veuve en 1652 et enfin Jean FONTAINE, époux de la veuve en 1653[260].

Jean GALLOIS et Jeanne CAILLÉ sont les parents de:


T.2.B. François le jeune puis l'aîné, Honorable Homme, manouvrier, laboureur, lieutenant en la mairie de Saint-Aubin, ! en 1604-1624, † /1648, × 17.11.1609 à Catherine CHERAULT, fille de Charles C.

Entre 1604 et 1607, François GALLOIS le jeune et Martin BENOIST déclarent des vignes en la Garenne[261].

En 1607, François GALLOIS le jeune, manouvrier à Saint-Aubin intervient dans un acte de nomination des officiers des eaux-et-forêts de Nogent/Seine[262].

François GALLOIS le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1618 et 1623[263].

En 1618, François GALLOIS le jeune, laboureur à Saint-Aubin, prend du seigneur de Saint-Aubin le bail d'une maison[264].

François GALLOIS le jeune, laboureur à Saint-Aubin, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin en 1619[265].

En 1624, François GALLOIS l'aîné, laboureur à Saint-Aubin est cité pour avoir obtenu le bail de la moitié de 100 arpents de terre, l'autre moitié étant baillée par Jean GALLOIS, aussi laboureur à Saint-Aubin (son cousin germain)[266].

François GALLOIS et Catherine CHERAULT sont les parents de:

En 1653, Jean NICOLAS, cabaretier à Saint-Aubin, intervient pour Catherine GALLOIS, sa femme, héritière de François GALLOIS, laboureur à Nogent/Seine, pour des terres pris en louage par ledit feu François GALLOIS. Il signe "Jehan Nicolas"[268].

×(2) 28.11.1626 à Marie NAULDIER


T.2.C. (?) Michel, × à Anne (voir aussi M.2.B.)

T.2.C. (?) Michel le jeune, lieutenant, ! en 1633, † 1665/, × /1634 à Marguerite MERAT, ne sait pas signer, † 18.4.1665 La Chapelle-Godefroy, (†) le 19 en l'église[269]

En 1633, Michel GALLOIS le jeune, demeurant à Saint-Aubin, comparaît dans une procédure contre un serviteur de l'Abbaye du Paraclet[270].

En 1648, Marguerite MERAT, épouse de Michel GALLOIS, agrée à un contrat d'échange fait entre Paquet GRILLAT et le seigneur de Saint-Aubin. Elle ne sait pas signer[271].

Michel GALLOIS le jeune et Marguerite MERAT sont les parents de:


T.2.C.1. Michel, ne sait pas signer, manouvrier, vigneron, charretier, ! en 1669-1703, † 7.11.1710, (†) le 8, × 27.4.1665 à Denise DROIT, ne sait pas signer, ° ca 1643, † et (†) 26.8.1710, fille de Jean D. et Barbe QUINSON

Michel GALLOIS, manouvrier à Saint-Aubin, intervient dans une convention en 1669. Il ne sait pas signer[272].

En 1673, Michel GALLOIS, manouvrier à Saint-Aubin, époux de Denise DROIT, passe un contrat pour 2 pièces de vigne[273].

En 1674, Michel GALLOIS, vigneron, époux de Denise DROIT, prend un bail du seigneur de la Chapelle-Godefroy. La même année, il passe avec d'autres un accord avec le seigneur de La Chapelle-Godefroy[274].

En 1693, Michel GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, vend à Adrien BOIVIN un bail à rente pris des religieuses du Paraclet[275].

En 1697, Michel GALLOIS, manouvrier à Saint-Aubin, prend de Sébastien BATAILLE le bail d'une maison à Saint-Aubin[276].

En 1703, Michel GALLOIS, manouvrier à Saint-Aubin, fait plusieurs déclarations au terrier de Saint-Aubin. Il déclare entre autre le tiers d'une terre dont les deux autres tiers appartiennent aux enfants de feu Adrien BOIVIN[277], [278].

En 1703, Gervais QUINSON rétrocède des vignes à Michel GALLOIS, manouvrier à Saint-Aubin[279].

Michel GALLOIS et Denise DROIT sont les parents de:


T.2.C.1.A. Nicolas, manouvrier, × 30.10.1703 à Marie COLLET, ne sait pas signer, ° ca 1684, fille de Louis C., signe: Louis Collet, manouvrier, et Marie MALVALLE


T.2.D. (?). Jean le jeune, ! en 1642, × /1626 à Catherine DE FLERS, peut-être fille de François D. F.

En 1642, Jehan GALLOIS le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin pour une maison rue au Charron[280].


U. Jean, (†) 19.8.1631
V. Sébastien, ! en 1623[281], × à Nicole SIMON, probablement fille de Nicolas S.


Z. NN.En 1694, Fiacre GALLOIS déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet des héritages provenant de Jean GALLOIS, cordier, son frère[282].


Z.1. Jean, ne sait pas signer, cordier et vigneron, ° ca 1632, † 21.10.1687, (†) le 22 dans l'église, × à Sébastienne PENAILLE, ° ca 1633, (†) 4.12.1693

Jean GALLOIS, cordier, pourrait être apparenté à Pierre GALLOIS, cordier à Nogent/Seine, qui fait baptiser plusieurs enfants à Nogent/Seine entre 1623 et 1639[283], [284], [285], [286], [287], [288], [289], [290], [291], [292].

Jean GALLOIS, cordier déclare en 1679 un demi arpent de vigne baillé aux religieuses du Paraclet[293].

En 1687, Jean GALLOIS, cordier et vigneron à Saint-Aubin, prend des religieuses du Paraclet le bail de 5 pièces de vigne[294].

Jean GALLOIS ne semble pas avoir eu d'enfant. Sa succession semble vacante car personne n'a repris après sa mort les vignes qu'il baillaient des religieuses du Paraclet[295].

Jean GALLOIS a receuilli Claude TROUVÉ, un enfant trouvé dans les vignes de Saint-Aubin.


Z.2. Fiacre, ne sait pas signer, jardinier, de Pont/Seine, ! en 1675-1678, ° ca 1635, × 23.1.1663 à Jeanne PILLARD, ×(1) à Michel VALLÉE

×(2) 14.5.1685 à Claude CANLET, ° ca 1640, ×(1) à Jacques BAILLET, arpenteur juré

Fiacre GALLOIS est poursuivi en 1675 avec d'autres manouvriers et vignerons de Saint-Aubin pour avoir coupé du bois[296].

En 1678, Fiacre GALLOIS, qui ne sait pas signer, jardinier demeurant à Pont/Seine, déclare 1 quartier de vigne pris en bail des religieuses du Paraclet[297], [298].


AB. Jeanne, (†) 24.11.1649
AC. Anne, "la plus laide et insigne putain de St Aubin, dem.t à La Chapelle", en 1658 “p.r la quatriesme fois fut acouchée”


AD. Jean, laboureur de Bernière, paroisse de Nogent/Seine, ° ca 1630, (†) 25.9.1685, × à Nicole RENAULT, (†) 10.4.1676, "permission de transporter son corps pour etre inhumé en ce lieu de M.re F. DAMONT curé de Nogent"

Nicole RENAULT semble apparentée à Jean RENAULT car Jean RENAULT est parrain du premier fils de Jean GALLOIS et Jean GALLOIS est parrain d'un fils de Jean RENAULT.

Jean GALLOIS et Nicole RENAULT sont les parents de:


AD.1. Laurent, charon, laboureur, ! en 1687, (†) 29.1.1694, † “subitem.”, “a receu le S.t Sacrem. d'extremonction à Ponts sur Seine ou il estoit tombé malade”, × à Marie GRAFFAULT, ne sait pas signer

En 1687, Laurent GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin, et Marie GRAFFAULT, sa femme, prennent le bail d'une maison[300].

En 1690, un contrat notarié fait état de 6 à 7 arpents de terre à Saint-Aubin et La Chapelle-Godefroy, auparavant baillées à Laurent GALLOIS, laboureur à Saint-Aubin[301].

Laurent GALLOIS et Marie GRAFFAULT sont les parents de:


AE. Simon, ne sait pas signer, vigneron à Courclain, ! en 1642-1645, × à Edmée LAURENT

×(2) à Françoise, ° ca 1611, (†) 21.10.1646

En 1642, Simon GALLOIS achète à Etienne CAULAY une maison à Courclain[302], [303], pour laquelle il passe une déclaration cette même année 1642[304].

En 1643, 1644 et 1645, les religieuses du Paraclet poursuivent Simon GALLOIS et d'autres à propos des acquisitions de plusieurs maisons à Courclain[305], [306].

Simon GALLOIS et Edmée LAURENT sont les parents de:

Dans une déclaration non datée au censier de Saint-Aubin (peut-être 1657), Simon GALLOIS et ses mineurs sont représentés par Pierre DROUIN[307]. Simon GALLOIS est donc peut-être apparenté à Aubine GALLOIS, épouse de Pierre DROUIN. Il est peut-être le père de Charles et Pierre GALLOIS, qui suivent.


AG. NN.
AG.1. NN
AG.1.A Charles, Maître, drapier à Nogent/Seine, marchand, † /1685, × 13.7.1664 Nogent/Seine à Françoise LHERMITTE, ° ca 1632, † 30.10.1677 Nogent/Seine, (†) le 31[308]

×(2) 19.1.1680 Nogent/Seine[311] à Jeanne ou Anne-Marie ROUSSEAU, fille de Jean R., menuisier, ° ca 1620, † 29.4.1680 Nogent/Seine, et Anne PATURIAU; ×(2) 25.7.1691 Nogent/Seine à Jacques AUBRIS, fils de NN. A. et Jeanne ROYALLE


AG.1.B. (?) Pierre, drapier à Corquelain, ° ca 1635/1643, (†) 8.2.1690

×(1) 22.11.1660 à Martine AGUINE, de la Bassecourt de Pont/Seine, † et (†) 4.7.1663, après sa couche

×(2) /1665 à Perrette GUILLAUME ou BENOIST, ° ca 1631, (†) 25.10.1677, peut-être fille de Nicolas G. et Jeanne GERMAIN

×(3) 21.2.1678 à Claude CORNUAT, ne sait pas signer, servante du Paraclet, ! en 1697, ° ca 1652/1656, † 8.5.1721, (†) le 9, a reçu le sacrement des infirmes, fille de Etienne C. et Nicole ROSEY, † /1678, ×(2) 24.11.1692 à Jacques GRANJON, cardeur de laine, de Saint-Gervais de Trainel

En 1697, Claudine CORNUAT, veuve en premières noces de Pierre GALLOIS, drapier à Saint-Aubin, et en secondes noces de Jacques GRANJON, reconnaît une dette de 10 livres qu'elle a contractée en 1682 avec Pierre GALLOIS sur une maison à Courclain[313].

En 1703, Claudine CORNUAT, veuve de Pierre GALLOIS, drapier à Saint-Aubin, fait une déclaration au terrier de Saint-Aubin[314], [315].

Pierre GALLOIS semble être apparenté aux GALLOIS de Nogent/Seine. Il est drapier, comme Charles GALLOIS qui fut le parrain de sa fille Jeanne en 1665. D'autre part, François DROUIN, parrain de son fils Claude en 1679, pourraît être le fils né en 1640 de Pierre DROUIN et Aubine GALLOIS.

Pierre GALLOIS et Claudine CORNUAT sont les parents de:


AG.1.B.1. Pierre, ne sait pas signer, × 29.10.1708 à Marie COLLET, ° ca 1686/1688, † 6.5.1715, (†) le 7, fille de Jean C., signe: Jean Collet, et Edmée ADAM

×(2) 19.6.1715 à Marie LE GRAND, ne sait pas signer, ° ca 1693, fille de Claude LE GRAND, † /1693, et Catherine LE BLANS


AI. Jean, ° ca 1671, † 8.4.1718[316], (†) le 9, a reçu le sacrement des infirmes, × à Marie CHAPUYSOT