Saint-Aubin

CLEREAU


A. Bon
, Maître, praticien, substitut du procureur fiscal de Saint-Aubin, ! en 1615-1645, ° ca 1571, × /1615 à Marguerite GALLOIS, † /1633, ×(1) à Guillaume DESQUAINS, fille de Nicolas G.

×(2) 13.4.1633 à Catherine PAYEN, ×(1) à Nicolas GARNIER

Enntre 1615 et 1623, Bon CLEREAU paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin comme mari de Marguerite GALLOYS, veuve de Guillaume DESQUAINS[1].

En 1620, Maître Bon CLEREAU, praticien à Saint-Aubin et Marguerite GALLOIS, sa femme, constituent une rente sur une maison à Louis BONNET[2].

En 1623, Bon CLEREAU et Samuel SYMON sont cités pour avoir repris une maison près du pont de Saint-Aubin déclarée en 1532 au censier de l'Abbaye du Paraclet par Jean POPILLARD et Jean GALLOIS[3], [4].

En 1630, Claude, Jean, François, Guillaume, Aubine et Nicolas DESQUAINS, fils et filles de feue Marguerite GALLOIS, épouse en seconde noces de Maître Bon CLEREAU, reconnaissance la rente prise en 1620[5]. En 1637, ils vendent ladite maison à Jean BARDY[6].

En 1630, Maître Bon CLEREAU, substitut du procureur fiscal de Saint-Aubin, et les enfants de feu Guillaume DESQUAINS et feue Marguerite GALLOIS, remariée audit CLEREAU, en procès sur la succession de Marguerite GALLOIS passent un accord sur la partage de la succession[7].

En 1638, Maître Bon CLEREAU déclare des vignes au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin[8].

En 1642, Maître Bon CLEREAU déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin la moitié de la succession de Nicolas GARNIER, premier mari de Catherine PAYEN, épouse dudit CLEREAU[9].

En 1643, Bon CLEREAU est témoin avec d'autres habitants de Saint-Aubin dans une procédure des eaux-et-forêts[10].

En 1645, Bon CLEREAU, praticien à Saint-Aubin, âgé de 74 ans intervient avec d'autres anciens habitants de Saint-Aubin[11].

En 1646, Bon CLEREAU, procureur, est témoin dans une enquête avec d'autres habitants de Saint-Aubin[12].