Saint-Aubin

BOIVIN


A. Jean, ! en 1536[1]
B. Jacques, charron, meunier, ! en 1562-1585

Jacques BOYVIN paye régulièrement sa contributiion au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1562 et 1585[2].

En 1567, Jacques BOYVIN, charron à Saint-Aubin, est redevable d'une rente envers le seigneur de Saint-Aubin pour un grand corps de logis en plusieurs chas à Saint-Aubin, partagé avec Huguet ROMILLY et Jacquette PILLAVOYNE, veuve de feu Claude DE LAUNOY, et ayant appartenu à Jacquin MIGOURDIN[3].

En 1571, Jacques BOYVIN, charron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet, le bail pour 9 ans du moulin du Paraclet[4].

En 1575, Jacques BOYVIN, meunier du moulin du Paraclet, se désiste du bail[5].

En 1575, Jacques BOYVIN, autrefois meunier du Paraclet, reconnaît une obligation de 135 livres au profit des religieuses du Paraclet[6].

Jacques BOYVIN est le père de:


C. Adrien, ne sait pas signer, meunier au moulin de la Mardelle, ° ca 1639, probablement de Maizière-la-Grande-Paroisse, † 2.5.1694, (†) le 3 dans l'église, × /1674 à Jeanne HUON, aussi VION ou BOSSUAT, ne sait pas signer, ° ca 1643, (†) 28.5.1693, † “subitem. et par un funeste accident […] parce qu'elle tombée dans la riviere vers la vanne du moulin pensant arreter la roue. Elle assistait regulierem. au divin service com.e bonne crestienne”, (†) dans l'église, au devant du crucifix, dans la nef, fille de Jean H. et Jeanne BOSSUAT

En 1686, Adrien BOIVIN, meunier du moulin de Quincey, prend le bail du moulin du Paraclet[7].

En 1690, Adrien BOIVIN, meunier du moulin du Paraclet, intervient comme caution de Jean BOIVIN, boulanger à La Grande Paroisse[8], son frère, pour un accord à propos de la saisie de 8 septiers moins 4 boisseaux d'avoine[9], [10].

En 1693, Adrien BOIVIN, meunier à Saint-Aubin, achète un bail à rente pris de l'Abbaye du Paraclet d'un quartier de vigne à Pothière. Il ne sait pas signer[11].

En 1694, André BOIVIN, meunier du moulin du Paraclet, fait son testament. Il ne sait pas signer[12].

En 1694, Pierre BOIVIN, meunier du moulin de Saint-Aubin, et Claude ROSÉ, manouvrier à Saint-Aubin, tuteur des enfants mineurs des défunts Adrien BOIVIN et Jeanne HUON, vivant meunier au Paraclet, baillent une maison à Saint-Martin-de-Bossenay[13].

En 1696, les enfants de feu Adrien BOIVIN, Pierre et Denise, épouse de Claude ROSÉ, interviennent pour un bail pris en 1681 par feu Jean BOIVIN, boulanger à La Grande Paroisse, et pour lequel Adrien BOIVIN, son frère, s'était rendu caution en 1686[14].

La descendance d'Adrien BOIVIN est connue grâce à une déclaration passée en 1703 au censier de l'Abbaye de Paraclet[15], [16].

Adrien BOIVIN et Jeanne HUON sont les parents de:


C.1. Pierre, signe: Pierre Boivin avec paraphe, meunier du Paraclet, manouvrier, ! en 1709, ° ca 1670, † 2.1.1720 La Chapelle-Godefroy, (†) le 3[17], × 13.11.1690 à Jeanne GENNERAT, ne sait pas signer, de Quincey, ° ca 1668, † /1721, fille de Antoine G., signe: A Jeannerat, laboureur, et Claude DE FRANCE

En 1703, Pierre BOIVIN, meunier du Bassin, paroisse de Saint-Martin-la-Fosse, vend à Jean BOIVIN (son frère), compagnon menuisier à Saint-Aubin, des vignes à Saint-Aubin. Il signe "Pierre Boyvin" avec paraphe[18].

En 1709, Pierre BOIVIN, meunier des moulins à eau de Ferreux et Quincey, demeurant à Quincey, prend le bail du moulin banal à eau de Ferreux. Il signe "Pierre Boyvin"[19].

Pierre BOIVIN et Jeanne GENNERAT sont les parents de:

×(2) à Marie BALANCIER, † 3.8.1713 La Chapelle-Godefroy, (†) le 4, fille d'Antoine B. et Barbe ADAM[20]

×(3) 25.9.1713 La Chapelle-Godefroy à Catherine BRIOIS, de Pouy, fille de Pierre, B., † /1713, et Marie MICHELET, † /1713


C.2. Jean, signe: Jean Boivin avec paraphe, menuisier à Romilly/Seine, † /1729, × 15.5.1706 La Chapelle-Godefroy à Marguerite TRUDON, signe: Marguerite Trudon, de Marnay/Seine

En 1703, Jean BOIVIN, compagnon menuisier à Saint-Aubin achète de Pierre BOIVIN (son frère), meunier du Bassin, paroisse de Saint-Martin-la-Fosse, des vignes à Saint-Aubin. Il signe "Jean Boivin" avec paraphe[21].

En 1709, Jean BOYVIN, menuisier à Pont/Seine, époux de Marguerite TRUDON, intervient comme héritier de feu Adrien BOYVIN son père. Ils signent "Jean Boivin" et "Marguerite Trudon"[22].