Saint-Aubin

BLANCHARD


A. Richard, † /1507, × à Jeannette, ! en 1507-1528
Jeannette, veuve de Richard BLANCHART, paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1507 et 1528[1]. Martin DOURY paye censive pour les héritiers de Richard BLANCHART en 1527 et 1528, Jacquin GRILLAT en 1529.

Richard BLANCHART et Jeannette sont probablement les parents de:

Jeannette pourrait aussi être la mère de:


A.1. (?) Pierre[2], ! en 1526-1538

Dans plusieurs censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1531, Pierre BLANCHART déclare un vigne au Houssoy[3], [4].

En 1532, Pierre BLANCHART déclare en commun avec Jean MORANGE:

une maison rue de Courmont qui sera en 1623 reprise par Henriette FONTAINE, veuve de Nicolas MIGOURDIN[5].

Pierre BLANCHART paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1526 et 1533[6]. En 1526, Martin DOURY paye avec lui et en 1527, pour la part de Pierre BLANCHART à cause de feue sa mère.

Pierre BLANCHART paye censive à l'Abbaye du Paraclet entre 1535 et 1538; il fait une déclaration commune avec Jean MORANGE en 1535 et 1536[7].


A.2. (?) Denis, ! en 1518-1526, † 1526/1528
Denis BLANCHART paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1518 et 1526. Il paye avec Martin DOURY en 1519. Ses héritiers payent censive en 1528 et 1529[8].


B. Guillaume, signe: Blanchard, marchand, d'Arzillière, ° ca 1603, (†) 13.2.1648, × /1629 à Jeanne BENOIST, (†) 19.3.1663, fille de Martin B.

non × à Barbe CAILLIÉ


B.1. Antoine, bûcheron, ! en 1655, † 23.6.1663, (†) le 24, (†) proche sa mère

En 1655, Antoine BLANCHARD est cité parmi d'autres bûcherons dans les recettes de coupe de bois de la seigneurie[10].

En 1678[11] puis en 1692[12], Jean QUINSON, époux de Noëlle COLLOT, veuve d'Antoine BLANCHARD, vivant vigneron à Saint-Aubin, fils et héritier d'Antoine (!) BLANCHARD, déclare la moitié d'un arpent de vigne.

non × à Jeanne QUINSON

×(1) 8.2.1654 à Jeanne DE CHAMPAGNE

×(2) /1656 à Noëlle COLOT, ! en 1678-1692, (†) 29.10.1693, ×(2) à Jean QUINSON, manouvrier


B.1.A. François l'aîné, ne sait pas signer, vigneron, manouvrier, ! en 1678, † 27.8.1716, (†) le 28, × 8.11.1677 à Paquette LANGE, ° ca 1647, fille de Lupien L., † /1677 et Jeanne ALAIS, † /1677

En 1678, François BLANCHARD, manouvrier à Saint-Aubin, et Paquette LANGE sa femme, vendent à Laurent LANGE, manouvrier à Gélannes, la cinquième partie d'une masure à Gélannes, appartenant à feu Lupien LANGE (leur père), manouvrier à Gélannes. Ils ne savent pas signer[13].

François BLANCHARD, manouvrier, déclare 3 arpents 75 cordes de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[14].

François BLANCHARD et Paquette LANGE sont les parents de:

×(2) 3.11.1701 à Edmée RIGNEY ou RENOÜAT, ne sait pas signer, ° ca 1669, † 3.1.1721, (†) le 4, ×(1) à Nicolas DAOUT, manouvrier, de Quincey


B.1.A.1. François
, signe: Francois Blanchard, manouvrier, × 21.11.1707[15] à Marie MAISTRE, ne sait pas signer, de Saint-Loup La Fosse, ° ca 1684, fille de Edmé M., † /1707, et Julienne MARCHOISON


C. Jean, signe: Jehan Blanchard avec paraphe, Honorable Homme, maître pâtissier à Nogent/Seine, marchand de grains et bourgeois de Paris, ! en 1642-1645, fils de Martin B.[16], × en 2.1632 Nogent/Seine à Denise GILLES, ne sait pas signer, fille de Pierre G.

En 1630, Jean BLANCHARD, pâtissier à Nogent/Seine, héritier de feu Martin BLANCHARD, son père, reconnait être propriétaire d'une chambre basse à Nogent/Seine. Il signe "Jehan Blanchard" avec paraphe[17].

Jean BLANCHARD et Pierre LOIRET font une déclaration commune au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1642[18]. En 1645, il sont tous deux témoins dans une enquête[19]. Ils ont tous les deux épousé des petites-filles de Guillaume GILLES.

En 1642, Jean BLANCHARD, maître pâtissier à Nogent/Seine, époux de Denise GILLES et Pierre LOIRET, drapier, époux de Marie GILLES, vendent des biens déclarés par Guillaume GILLES en 1582[20], [21].

C'est certainement encore lui qui est est appelé par erreur Guillaume BLANCHARD dans la vente en 1645 avec N. LOIRET de deux maisons provenant de Guillaume GILLES et Léonard POTIER[22].

En 1657, Honorable Homme Jean BLANCHARD, marchand de grains, bourgeois de Paris, demeurant rue de la Mortellerie, paroisse Saint-Gervais, et Honnête Femme Denise GILLES, sa femme, vendent une maison à Nogent/Seine provenant de la succession de ses père et mère[23].

Jean BLANCHARD et Denise GILLES sont les parents de:


D. Etienne, × à Marie MOITOU, originaires de Saint-Pré-lès-Sens