Saint-Aubin

BENOIST[1]


A. Jean, de Vilars, ! en 1491-1505

Jean BENOIST de Vilars paye censive au seigneur de La Chapelle-Godefroy pour des vignes entre 1491 et 1505[2].


B. Benoît, ! en 1507, † /1532, × à NN., ! en 1532-1533

Benoît BENOIST est cité en 1507 dans le censier du seigneur de Saint-Aubin comme héritier de (Jean) MERCIER. Sa veuve paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1532 et 1533[3].

Messire Benoît BENOIST est receveur du Paraclet de 1518 à 1525[4].


C. Michault, laboureur, vigneron, garennier et commis à la garde de la garenne, à Saint-Aubin depuis 1497/1499, ! en 1505-1529, ° ca 1473/1475, † en 1529

Michault BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1505 et 1529. Il paye entre autre pour une portion de jardin, une maison et des vignes à Saint-Aubin. En 1526, il paye censive pour sa part des héritages de CHEVRIER[5].

En 1513, Michault BENOIST fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il déclare entre autre la moitié d'un jardin, en indivis avec les Moines (?) de l'Abbaye Saint-Jean de Sens où il a établi sa maison[6]. La même année, il fait avec Jacquin MERCIER une autre déclaration pour les dîmes de Saint-Aubin; ils sont tous les deux laboureurs à Saint-Aubin[7].

En 1515, Michault BENOIST est témoin dans un enquête des eaux-et-forêts de Nogent/Seine. Il dit être laboureur à Saint-Aubin et être âgé d'environ 40 ans, donc né vers 1475. Il dit être venu à Saint-Aubin 16 ans auparavant (en 1499)[8].

En 1521, Michault BENOIST est témoin dans la procédure d'une contestation au sujet du droit de chasse dans les garennes de Pont. Il déclare être vigneron à Saint-Aubin et être âgé d'environ 48 ans, donc né vers 1473. Il dit habiter Saint-Aubin depuis 24 ans (en 1497) mais son origine est inconnue. Il a été garennier et commis à la garde de la garenne entre 1507 et 1517[9].

Les enfants ou héritiers de Michault BENOIST payent sa censive entre 1529 et 1532[10]. Il pourrait donc être mort vers 1529.

Toutefois, un Michault BENOIST apparaît parmi les fermiers des seigneurs de Saint-Aubin en 1536[11], [12]. Il est encore cité à Saint-Aubin en 1539[13] et 1541[14]; il est alors surnommé "l'aîné".

Il pourrait être le père de Michel, qui suit:


D. Michelet ou
Michel, ! en 1517-1541, † /1563

Michelot ou Michelet BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1517 et 1533[15].

Dans plusieurs censiers de Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532, Michelet ou Michel BENOIST déclare une maison en commun avec Colin SIMON, Martin MIGORDIN et Jacquinot BEGUE, qui sont, semble-t'il, les héritiers de Jacquin MERCIER[16], [17].

Michel BENOIST est témoin dans une enquête en 1535[18], [19].

Il est probablement le Michel BENOIST le jeune cité dans une liste d'habitants de Saint-Aubin en 1541[20].

Michel BENOIST est mort avant 1563, année pour laquelle Martin TROTIN déclare des terres appartenant en douaire à sa veuve[21].

Michel BENOIST est probablement le père des suivants qui sont cités ses héritiers dans le censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1563 et 1567:


D.1. Guillaume, ! en 1563-1595, × à Etiennette

En 1571, Guillaume BENOIST est avec François BENOIST et Nicolas CHEVRIER, laboureurs à Saint-Aubin, caution de Jacques BOYVIN pour le bail du moulin du Paraclet[22].

Guillaume BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1563 et 1585[23], puis en 1593 et 1595. En 1602 et 1603, Pierre PILLAVOINE paye pour les héritiers de Guillaume BENOIST[24].

Guillaume BENOISTet Etiennette sont les parents de:

Jean BENOIST, époux de Jeanne BALLIGAULT, est probablement le Jean BENOIST cité en 1622[25] oncle de Pierre PILLAVOINE, fils d'Aubine BENOIST. Aubine semble être la fille de Guillaume BENOIST, donc Jean l'est aussi probablement.


D.1.A. (?) Jean, signe: Jehan Benoist, manouvrier, ! en 1602-1622, (†) 5.10.1631, × /1606 à Jeanne BALLIGAULT, ! en 1608, (†) 7.11.1631

Jean BENOIST, manouvrier à Saint-Aubin, est pour la première fois cité en 1602 dans un contrat[26]. En 1608, il intervient pour une vente avec sa femme Jeanne BALLIGAULT[27].

Jean BENOIST fait deux déclarations au censier de Saint-Aubin en 1609[28] et 1610[29]. Il déclare entre a utre une maison.

Jean BENOIST paye censive au seigneur de Saint-Aubin chaque année de 1606 à 1611[30].

Jean BENOIST est encore cité dans le censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1612 et 1622[31].

De son mariage avec Jeanne BALLIGAULT est né:


D.1.A.1. Etienne, vigneron, manouvrier, ! en 1638-1651, ° ca 1621 (?), (†) 11.1.1671, × 8.5.1634 à Edmée GRESSÉ, † /1672

Etienne BENOIST déclare une pièce de vigne lors d'un arpentage des vignes de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin en 1638[32].

En 1651, Etienne BENOIST, manouvrier à Saint-Aubin, vend une masure à Saint-Aubin[33].

Etienne BENOIST et Edmée GRESSÉ sont les parents de:

×(2) /1655 à Denise GUILLAUME, , ° ca 1631, (†) 28.10.1681, ×(2) 17.8.1671 à Martial CORAT, peut-être fille de Nicolas G. et Jeanne GERMAIN

Jacques et Gabriel MERCIER sont cités frères en 1688[34]. En 1689, après le décès de Jacques BENOIST, Gabriel BENOIST devient le curateur de ses enfants[35].


D.1.A.1.A. Gabriel, ne sait pas signer, vigneron, ! en 1678-1689, (†) 26.6.1694, × 27.6.1672 à Barbe MOREAU, ° ca 1655, † 12.1.1697, (†) le 13, fille de Claude M., vigneron, et Anne AUBERT

En 1678, Gabriel BENOIST, vigneron à Saint-Aubin, déclare 18 cordes de vigne au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin[36], [37].

Gabriel BENOIST et Barbe MOREAU sont les parents de:


D.1.A.1.B. Jacques, vigneron, ! en 1688, † 7.2.1688, × 23.11.1682 Quincey à Marie MERCIER, ° ca 1666, (†) 2.5.1688, fille de Gabriel M., † 1688/ et Marie PHILIPPE


D.2. François, ! en 1559-1575

En 1559, François BENOIST prend le bail de 15 arpents de terre à Saint-Aubin[38].

François BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1559 et 1575[39].


D.2. (?) François dit Martin, signe: F Benoist, laboureur, ! en 1571-1582, × /1583 à Jeanne

François BENOIST est cité laboureur à Saint-Aubin en 1571[40].

François BENOIST, laboureur à Saint-Aubin, déclare en 1572 une maison rue aux Rasles. Il signe "F Benoist" sa déclaration. Sa maison est voisine d'une propriété appartenant à Michel DESPENCIER à cause de sa femme, sœur de François[41], [42].

Il est le père de:


D.2.A. Martin, ! en 1602-1623

Martin BENOIST paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1602 et 1611[43].

En 1611, Martin BENOIST déclare une maison au censier de Saint-Aubin[44].

Martin BENOIST apparaît plusieurs fois au censier du seigneur de Saint-Aubin au début du XVIIème siècle. En 1607 et 1608 avec François GALLOIS le jeune[45], en 1610 avec Jean GILLES[46], puis avec Jean MERCIER l'aîné et Nicolas VOITERIN[47], seul entre 1612 et 1623, et enfin avec Jean GILLES et Nicolas MAISTRE entre 1614 et 1623[48].

Martin BENOIST possède en 1623 avec François MEROSSE un accin rue aux Rasles déclaré en 1532 par Messire Guillaume BOURJONNE[49], [50]. Michel DESPENSIER, oncle de Martin BENOIST, est lui aussi cité en 1568 héritier de Guillaume BOURJONNE[51].

Martin BENOIST est le père de:

La filiation de Jeanne à Martin BENOIST, et de Martin à François BENOIST dit Martin est attestée par le fait que:

a)\tab Martin BENOIST reprend les héritages déclarés par François BENOIST en 1575/1576[52] et 1582[53].

b)\tab En 1673, Jeanne BENOIST, mère d'Antoine BLANCHARD est dite fille de Martin BENOIST[54] et héritière de François BENOIST dit Martin[55].


D.3. Jean, ! en 1563-1596, † 1596/1598, × à NN., ! en 1598

Jean BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1563 et 1585[56]. Il fait encore une déclaration en 1593[57].

En 1574, dans le censier du seigneur de Saint-Aubin, Jean BENOIST d&eacu te;clare plusieurs propriétés dont une maison et un pré, partagés par indivis avec Jean JACOPIN et Guillaume MIGOURDIN[58], [59].

Jean BENOIST paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1593 et 1596. Sa veuve paye en 1598.


E. Jean, charretier et voiturier par terre, probablement à Nogent/Seine, ° ca 1518, ! en 1548

En 1548, Jean BENOIST comparaît comme témoin dans une enquête. Il déclare est charretier et voiturier par terre. Il dit être âgé de 30 ans[60].


F. Denis, ! en 1539-1564, ° ca 1504, † 1564/1565, × à NN., ! en 1565-1582

Denis BENOIST est témoin dans un acte établi en 1539 à propos d'une batterie. Il déclare être âgé de 35 ans et demeurer à Saint-Aubin[61].

Denis BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1559 et 1564, puis sa veuve entre 1565 et 1582. Nicolas PILLAVOINE est tuteur de leurs enfants en 1583[62]; Nicolas PILLAVOINE est aussi celui des enfants de Louis BENOIST[63]. Denis et Louis sont-il une seule et même personne?

Ambroise BARBOTIN paye censive pour la maison Denis BENOIST en 1593[64].


G. Jacques, signe: Jacques Benoist, ! en 1541-1585, † /1593, ×(1) à Martine, testament 14.10.1570, † 2.11.1570

×(2) 2.5.1571 à Tristane, de Ferreux, ×(1) à Jean DESQUENS

Jacques BENOIST est une première fois cité dans une liste d'habitants de Saint-Aubin en 1541[65].

Jacques BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1559 et 1585[66].

En 1568 et 1572, Jacques BENOIST déclare à Saint-Aubin une maison rue Pescheloche[67], [68]. Il signe "Jacques Benoist".

Jacques BENOIST est mort avant 1593, année pour laquelle ses héritiers font une déclaration au censier de Saint-Aubin[69].


H. Jean, Messire, signe: J Benoist avec paraphe, prêtre
demeurant à Nogent/Seine, ! en 1561-1585

Messire Jean BENOIST paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1561 et 1585[70].

En 1574, Messire Jean BENOIST, prêtre à Nogent/Seine, déclare plusieurs propriétés au censier du seigneur de Saint-Aubin[71], [72].

Messire Jean BENOIST, prêtre à Nogent/Seine, déclare un demi-arpent de terre au censier de l'Abbaye du Paraclet en 1575/1576[73] et 1582[74].

Messire Jean BENOIST est certainement un descendant de Michel BENOIST car Martin BENOIST, petit-fils de Michel, est héritier de Messire Jean BENOIST[75].


I. Camélien, signe: Camélian Benoist avec paraphe, vigneron, parrain à La Chapelle-Godefroy en 1633-1641, ! en 1642-1656, × /1629 à Edmée MERCIER, (†) 5.7.1631 La Chapelle-Godefroy, peut-être fille de Nicolas M.

Camélien BENOIST déclare une maison au censier du seigneur de Saint-Aubin de 1642[76].

En 1653, Camélien BENOIST prend de l'Abbaye du Paraclet le bail d'une vigne. Il est alors vigneron à Saint-Aubin[77].

En 1656, Camélien BENOIST, vigneron à Saint-Aubin, et Jean ROUX, cordonnier à Nogent/Seine, baillent des terres à Marnay et La Chapelle-Godefroy[78].

Camélien BENOIST à épousé Edmée MERCIER, d'où est née:

×(2) 24.2.1632 La Chapelle-Godefroy à Anne PINE, (†) 25.5.1661, ×(1) à Fiacre D'AOUST, probablement fille de François P. et Anne DESPENSIER

×(3) à Etiennette BAILLET, (†) 12.8.1674, fille de Jean B. et Catherine CAILLEY

Camélien BENOIST et Claude GUILLAUME reprennent une vigne déclarée en 1638 par les héritiers de Denis GARNIER[79].

Camélien BENOIST est sans doute parent de Paquet BENOIST[80] qui est parrain de sa fille Jeanne en 1629. Camélien BENOIST est lui-même parrain le 13.8.1636 à Quincey de François, fils de Paquet BENOIST et Marie.

Camélien BENOIST est sans doute parent d'Etienne BENOIST, peut-être son frère aîné. En 1655, Camélien et Etienne BENOIST sont poursuivi pour le enjoints de porter leur vendange au pressoir de l'Abbaye du Paraclet[81]. D'autre part, Gabriel CHEMET, futur gendre de Camélien, est parrain en 1646 d'un fils d'Etienne BENOIST.

Camélien BENOIST est témoin le 27.1.1660 à Saint-Martin-de-Bossenay au mariage de Joachim BENOIST avec Antoinette HUON.


J. Jean, ne sait pas signer, manouvrier, vigneron, ! en 1660-1670, (†) 18.12.1680, × 4.11.1658 à Nicole PILLARD ou DE LAURAINE

Jean BENOIST, vigneron à Saint-Aubin, apparaît en 1660 pour le bail d'une maison[82].

En 1662, Jean BENOIST achète avec son épouse Jeanne PILLARD, une maison couverte de paille, rue aux Charrons, provenant de Camélien BENOIST[83]. C'est certainement la même maison qu'il déclare en 1670 au censier de Saint-Aubin[84], [85]. Il ne sait pas signer.

En 1683, Nicole PILLARD veuve de feu Jean BENO IST, demeurant à Saint-Aubin, est condamnée avec d'autres à payer ce qu'elle doit à la succession de Sulpice LECLERC[86].

De son mariage avec Jeanne PILLARD sont nés:


K. Jean, signe, praticien, sergent à Saint-Martin-de-Bossenay, fils de Denis B. et Jeanne DAVOST, × Claudine BENOIST, (†) 7.7.1675 Saint-Martin-de-Bossenay[87]


K.1. Sébastien, ne sait pas signer, cordonnier à Saint-Martin-de-Bossenay, † /1701, ×(1) 16.11.1659 Saint-Martin-de-Bossenay à Edmée BONHENRY, de Somme-Fontaine, (†) 3.10.1673 Saint-Martin-de-Bossenay

×(2) 26.6.1674 Saint-Martin-de-Bossenay à Claude DAURÉE/DENRÉE, † /1701


K.1.A. Martin, † 20.4.1709, (†) le 21, × à Barbe ROBELIN


K.1.B. Jean, signe: Benoit ou Jean Benoit, domestique de Maître HERLUIZON, manouvrier, † et (†) 12.8.1709, × 7.7.1701 à Marie ROSÉ, ne sait pas signer, ° ca 1675, † 1709/, fille de Laurent R., vigneron, † /1701, et Anne VAUCOULOURS


K.2. Pierre, signe: Pierre Benoist, maréchal-ferrand à La Fosse, Saint-Martin-de-Bossenay, puis à Gélannes, † /1694, × à Marie ROZÉ, (†) 10.6.1671 Saint-Martin-de-Bossenay, fille d'Edmé R., de Saint-Loup-de-Buffigny, de Jacquette GILBERT[89]

La descendance de Pierre BENOIST est connue grâce à un acte notarié du 9.12.1689 par lequel il abandonne tous ses biens à ses 4 enfants ou leurs enfants[90]:

En 1694, Martin BENOIST, fils de feu Pierre BENOIST, déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet un échange avec Paquet GRILLAT[91].

×(2) 2.8.1672 Saint-Martin-de-Bossenay, avec dispence du quatrième degré de consanguinité, à Marguerite HUON, (†) 11.11.1675 Saint-Martin-de-Bossenay, fille de Charles H. et Nicole PICART

×(3) 17.2.1676 à Marthe VERNIER, ne sait pas signer, ×(1) à Jean LECONTE, peut-être fille de Jean V. et Nicole TROTIN

En 1691, les enfants de Jean ROSSEY et Anne VERNIER, héritiers de Marthe VERNIER, leur tante, épouse de Pierre BENOIST, maréchal à Gélannes, reçoivent 700 livres leur revenant de la succession de Pierre BENOIST[92].


K.2.A. Martin, signe: M Benoilt, vigneron, manouvrier, ! en 1693-1698, × 22.11.1683 La Chapelle-Godefroy à Légère ROZÉ, fille d'Edmé R. et Anne VERNIER

En 1693, Martin BENOIST est cité manouvrier à La Chapelle-Godefroy dans un échange[93].

En 1698, Martin BENOIST achéte plusieurs pièces de terre; il est vigneron à La Chapelle-Godefroy[94]. Il ne sait pas signer.

Martin BENOIST, manouvrier à La Chapelle-Godefroy, intervient dans deux contrats en 1697[95] et 1698[96] comme tuteur des enfants de sa sœur Françoise BENOIST, épouse de Jean BENOIST.

De son mariage avec Légère ROZÉ sont nés:


L. Nicolas dit Dupuits, de Saint-Martin La Fosse, † /1689, × 23.11.1653 à Nicolle COCHAT ou LE COQ, (†) 30.1.1664 Saint-Martin-de-Bossenay


M. Pierre, non × à Claude MOULE

N. Louis, signe: Louis Benoit, vigneron, de Fontaine-Mâcon, ° ca 1672, ×(1) à Simone BOYARD, fille de Nicolas B.; ×(2) 21.4.1704 à Anne FONTENNE, ° ca 1678, fille de Claude F., ne sait pas signer, vigneron, † 1704/, et Anne CAILLE, † /1704


O. Jérôme, ne sait pas signer, de Saint-Loup-de-Buffigny, ° ca 1679, † 17.4.1718, (†) le 18, “il avait fait ses dévotions le dimanche précédent”, × à Marie BENOIST, † /1711

×(2) 16.2.1711 à Marguerite GUILLEMARD, ne sait pas signer, ° ca 1686/87, fille de André G. et Anne GRILLAT, ×(2) à Jean DESJARDINS


P. Jean, † /1693, × à Nicole, ° ca 1631, † 20.10. 1693 La Chapelle-Godefroy, (†) le 21[97]